n Des cadeaux pour les enfants hospitalisés PFizer Pharm Algérie a célébré, hier, la journée d'El Maoulid El Nabaoui El Charif, en organisant des actions caritatives au profit des enfants hospitalisés du centre, est et ouest du pays. Cette action à caractère communautaire consiste à faire un don de livres et de jouets aux enfants qui se trouvent, en une journée de fête, dans un hôpital. Dans ce cadre, des cadeaux ont été collectés également auprès des travailleurs de Pfizer Algérie. Une occasion de redonner le sourire à quelque 350 enfants malades, au niveau des hôpitaux d'Alger (CHU Mustapha et CHU BEO), des hôpitaux de l'Est (Constantine et Annaba) et ceux de l'Ouest (Oran, Tlemcen).
n Hausse du nombre de cas de rougeole dans le monde en 2010 après dix ans de baisse Le nombre de cas de rougeole dans le monde a légèrement augmenté en 2010 après avoir reculé pendant dix ans, selon un rapport des autorités sanitaires américaines publié ce jeudi. Les campagnes mondiales de vaccination avaient fait passer le nombre de cas de rougeole de plus de 853 000, en 2000, à près de 278 000, en 2008 et 2009. Mais, en 2010, ce chiffre est remonté à 339 845 en raison des épidémies qui ont éclaté en Afrique et en Europe, expliquent les Centres fédéraux de contrôle et de prévention des maladies (CDC). La plus forte augmentation du nombre de cas de rougeole en 2010 s'est produite au Malawi, qui en a dénombré 118 712, suivi du Burkina Faso (54 118) et de l'Irak (30 328). Plusieurs pays d'Europe ont également contribué à cet inversement de tendance, en particulier la Bulgarie (22 004 cas en 2010) et la France (5048). Ce regain de la rougeole s'est produit malgré une hausse importante du taux de vaccination des enfants à partir d'un an dans le monde, de 72% en 2000 à 85% en 2010. En 2010, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a fixé l'objectif de parvenir en 2015 à un taux de vaccination de 90% des enfants à partir d'un an. Mais début décembre, l'organisation onusienne avait mis en garde les pays européens où les cas de rougeole se multipliaient contre les sérieuses conséquences sur «la santé publique et l'économie» de ces épidémies.