Le manager d'Astana, Alexandre Vinokourov, a déclaré vendredi au site kazakh Sport Zakon n'avoir «rien à cacher». La formation du champion olympique vient d'obtenir sa licence World Tour par l'Union cycliste internationale (UCI) mais elle devra se soumettre à un audit de l'université de Lausanne qui préconise dix mesures pour lutter contre le dopage. L'UCI s'était donnée le temps de la réflexion avant de délivrer le précieux sésame à Astana, dont plusieurs coureurs (dont des stagiaires) ont été contrôlés positifs au cours des derniers mois. Le Dr Ferrari ? : «J'ai dit en 2007 que j'avais travaillé avec lui, mais pas après.»«Nous sommes transparents», a répondu Vino expliquant que les récents cas de dopage (des frères Iglinskiy notamment) étaient des «cas exceptionnels. Il n'y a pas de dopage systématique». Le Kazakhe a également réfuté les accusations émanant de La Gazzetta dello Sport selon lesquelles le Dr. Ferrari, banni à vie pour son implication dans l'affaire Lance Armstrong, avait rendu visite à l'équipe en novembre 2013 : «J'ai dit en 2007 que j'avais travaillé avec lui, mais pas après.» (lequipe)