Dans un communiqué, la Fédération britannique d'athlétisme (UKA) a affirmé qu'il n'y avait aucuns «soupçons d'irrégularités»sur le champion olympique de Londres du 5000m et du 10 000m. C'est un documentaire, «Catch me if you can», diffusé le 3 juin dernier, qui avait émis des soupçons, notamment sur l'entraîneur de Mo Farah : Alberto Salazar, accusé d'avoir incité des coureurs au dopage dans sa structure de très haut niveau, le Nike Oregon Project. Dans son communiqué, l'UKA précise qu'«aucune des données fournies ne contiennent de soupçons d'irrégularités commises par Mo Farah, pas plus que la Fédération n'a de raison de remettre en cause la pertinence des données fournies par le Oregon Project au sujet du programme d'entraînement de Mo Farah. Les résultats vont, à la demande de l'agence britannique anti-dopage, être partagés avec elle avant de faire l'objet d'une circulation plus large. Nous ne pensons pas être en mesure de communiquer publiquement plus largement sur ces résultats avant la fin des championnats du monde.» (lefigaro)