En le traitant de "guignol" à l'issue de l'Olympico, Jean-Michel Aulas semblait avoir assombri encore sa relation avec Vincent Labrune. Mais les tensions liées à la rencontre de leurs clubs se sont depuis dissipées, comme le patron lyonnais l'a assuré à RMC. "Oui on s'est reparlé. Je regrette ce qu'on a vu à Marseille, on était au bord de la guerre civile, dans un état de non-droit. Moi j'ai eu peur, pour la première fois. Quand on touche à l'intégrité des joueurs, le président que je suis est mal à l'aise. Voilà pourquoi j'ai dit des choses. Mais depuis on s'est revu, voilà... Moi je gère, lui fait parfois un peu trop de communication", a déclaré JMA dans des propos relayés par Footmercato.