Candidat à la présidence de la FIFA, le Cheikh Salman Bin Ebrahim Al Khalifa est soupçonné d'atteintes aux droits de l'homme lors des soulèvements au Bahrein en 2001. Des accusations qu'il répugne, comme il l'affirme à la BBC : "Je ne peux pas nier quelque chose que je n'ai pas fait. Ces accusations ne me sont pas seulement nuisibles, mais me font mal." Président de la confédération asiatique de football, le Cheikh va même plus loin : "Ce sont d'affreux mensonges, Des personnes ont un plan contre moi." Des propos relayés par Footmercato.