Il explique que le fait d'avoir reporté le traitement de l'affaire du bus algérien qui a été caillassé le 12 Novembre dernier au Caire, la FIFA a voulu laisser une porte ouverte pour espérer un arrangement à l'amiable. A partir du siège de la FIFA à Genève, Hanni Abou Rida, qui est membre de la Fédération égyptienne et qui fait aussi partie de l'exécutif de l'instance internationale, a affirmé qu'il existait une réelle chance de réconciliation entre l'Algérie et l'Egypte. Il explique que le fait d'avoir reporté le traitement de l'affaire du bus algérien qui a été caillassé le 12 Novembre dernier au Caire, la FIFA a voulu laisser une porte ouverte pour espérer un arrangement à l'amiable. Abou Rida confiera, lors d'un entretien qu'il a accordé au quotidien égyptien El Youm Essabaa, que l'Egypte avait tout intérêt qu'il y ait un arrangement à l'amiable, car elle risque une lourde sanction qui obligerait les Pharaons à jouer plusieurs de leurs matchs hors du pays.