Le portier du MOB Rahmani est vraiment loin de son niveau de début de saison. Le portier en question avait réalisé une entame de saison extraordinaire que ce soit en championnat mais aussi en coupe de la CAF pour avoir conduit son équipe jusqu'en finale face au TP Mazembe. Et ce n'est pas tout, puisque les performances du portier en question l'on mené jusqu'en sélection où il a été retenu pour la précédente Coupe d'Afrique des nations qui s'est déroulée au Gabon. Mais voilà qu'en l'espace de quelques mois, Rahmani est devenu méconnaissable sur sa ligne de but. Cette baisse de niveau inquiétante a poussé certains observateurs à se poser de vraies questions pour tenter de comprendre où réside le problème ? Certains estiment que c'est les mauvais résultats du MOB qui ont influencé négativement sur le rendement de l'international algérien tandis que d'autres estiment que Rahmani n'a plus la tête au MOB. Le fait de penser à changer d'air l'été prochain est derrière sa baisse de forme. Bien évidemment, chacun va de son avis sauf qu'en attendant, c'est le MOB qui paye les frais ! Vers un bras de fer avec la direction cet été De l'avis de nombreux observateurs, il est fort probable que le portier du MOB va engager un réel bras de fer avec les dirigeants du club d'ici la fin de saison. Pour cause, Rahmani est quasi-certain de quitter le club après avoir reçu de nombreuses offres de plus grosses cylindrées du championnat. Sauf que les dirigeants actuels ne l'entendent pas de cette oreille. Des proches de la direction nous ont fait savoir que Rahmani est encore lié par une année de contrat et qu'il ne sera pas libre de tout engagement d'ici le mois de juin. Le portier affirme qu'il a signé un contrat d'une année De son côté, Rahmani affirme le contraire. Pour cause, le portier en question a déclaré par le passé que les propos de l'ancien président Attia étaient infondés et qu'il a bel et bien signé une année de contrat. Il n'hésitera certainement pas à saisir la Ligue nationale de football professionnel pour être remis dans ses droits bien évidemment dans le cas où les dirigeants s'opposeraient à son départ.