Alors qu'Abdelkader Mana, le président de l'USMH, n'a, pour l'instant, rien dévoilé sur son avenir à la tête du club, n'empêche que, dans le milieu sportif harrachi, ou plutôt au sein de la famille USMH, on commence à entrevoir l'avenir du club, en pensant à la succession de Mana à la tête du club. Par rapport à certains de ses proches, le boss harrachi ne compte pas s'éterniser dans son poste. D'ailleurs, lui qui jouit toujours du soutien de trois actionnaires sur un total de douze, il est appelé à partir et, par conséquent, l'USMH aura bel et bien besoin d'un successeur. Mais la question est de savoir qui lui succédera. Pour les Harrachis, cela reste le grand point d'interrogation. De l'avis de nombreux membres de la famille sportive harrachie, Lefki est, pour l'instant, le seul prétendant pour reprendre les commandes du club. N'empêche qu'à El Harrach, les débats restent ouverts sur ce sujet. Lefki : « Je ne veux pas du poste de DG» La rumeur ayant circulé ces derniers temps à El Harrach, faisant état de la nomination de Lefki au poste de directeur général de l'USMH, est dénuée de tout fondement. L'ancien président du CSA/USMH que nous avons joint hier a catégoriquement rejeté cette supposition : « Ecoutez, dès le départ, j'ai été clair concernant mes intentions. J'ai toujours avoué mon intérêt pour reprendre la présidence du CSA. Quant à ceux qui me voient, le futur directeur général de la SPA, chacun a le droit de penser ce que bon lui semble. Mais sachez que, moi, je n'accepterai jamais un poste de directeur général au sein de la SPA. Certes, j'ai l'intention d'investir au sein de la SPA, et, si on ouvre le capital, je suis disposé à acheter des actionnaires. Quant à prendre la présidence de la SPA, cela ne dépend pas de moi. C'est aux actionnaires de choisir le président.»