Il garde un mauvais souvenir du Djoliba Comment se présente pour vous cette rencontre face au Djoliba de Bamako ? J'ai déjà joué face à cette équipe lorsque j'étais à l'ESS et c'était dans le même cadre de la compétition. Même s'il s'agissait d'une bonne équipe, nous avons réussi à nous qualifier pour la phase des poules. Je ne vous cache pas qu'il s'agit d'un bon adversaire et qui est mieux préparé que notre équipe, ça va être très difficile, mais on ne va pas baisser les bras. Qu'est-ce que vous craignez dans cette rencontre ? Ce que je crains le plus, ce sont les conditions climatiques, car il n'est pas facile de jouer en plein après-midi sous une forte chaleur et un taux d'humidité élevé. Ce sont des paramètres qui peuvent nous jouer un mauvais tour d'autant plus qu'on ne jouit pas de tous nos moyens, à cause du manque de préparation. Ne pensez-vous pas que cette situation risque de profiter à l'adversaire ? Ce sera vraiment difficile et je suis certain que nous allons subir une grande pression sur le terrain. Mais le plus important pour nous, et même si on perd le match, est que nous préservions nos chances de qualification, car il reste aussi un match retour à jouer au 20-Août. Et on aura le temps de le préparer et qui se déroulera dans d'autres conditions. ------------------- Il garde un mauvais souvenir du Djoliba Même si l'ESS s'est qualifiée aux dépens du Djoliba, il n'en demeure pas moins qu'Aksas garde un mauvais souvenir de cette équipe. Afin de déstabiliser les Sétifiens, le jour de la rencontre, les responsables du Djoliba n'ont pas envoyé le bus pour que l'équipe puisse se déplacer au stade. Les joueurs et les dirigeants étaient contraints de louer des taxis pour se déplacer au stade. Ce qui peut nous renseigner sur la guerre psychologique que l'adversaire du CRB utilise.