La JSK acceptera-t-elle de céder Hamiti au Mouloudia ? Apparemment, les choses ne vont pas dans le bon sens du côté du Mouloudia d'Alger. Les dirigeants sont dans une situation très embarrassante vu les nombreux problèmes qui perdurent au sein du club. Aux dernières nouvelles, les dirigeants mouloudéens comptent renforcer le groupe après avoir constaté qu'il y a encore des lacunes. Pour cela, un dirigeant du club, en l'occurrence Omar Gherib, a pris attache avec l'attaquant de la JSK, Farès Hamiti, pour lui faire la proposition de venir jouer au Mouloudia pour cette saison 2010-2011. L'attaquant kabyle est toujours éloigné de son équipe après avoir été l'auteur d'un grave accident de la circulation au centre-ville de Tizi-Ouzou, causant la mort d'un citoyen. Depuis, Hamiti n'a plus donné signe de vie à Tizi. Pour éviter les représailles de la famille de la victime, Hannachi, le président kabyle, a préféré libérer son joueur pour quelques jours. Cela a profité aux dirigeants mouloudéens qui ont pris attache avec lui. On ne sait pas ce que Hamiti a répondu à son interlocuteur mouloudéen, vu qu'il se trouve dans une situation psychologique très difficile, mais, une chose est sûre, cela pourrait être une bonne solution pour les Vert et Rouge. C'est pour remplacer Kemas Après son rendement loin des espérances, Khaled Kemas sera, et sans le moindre doute, libéré par la direction du club. On l'avait annoncé dans notre édition d'hier. Le joueur n'a pas confirmé tout le bien qu'on pensait de lui durant les deux matches amicaux disputés face au WAR et le RCK. La direction compte ainsi le remplacer par Farès Hamiti, à condition que l'ex-Blidéen accepte la proposition mouloudéenne. La JSK acceptera-t-elle de le céder au Mouloudia ? Une question se pose actuellement. Difficile de trouver une réponse car les relations entre les deux clubs ne sont pas au beau fixe ces derniers temps. On se souvient tous du fameux match retour à Tizi-Ouzou. En plus, il est fort possible que Hannachi maintienne le joueur dans son effectif car, à présent, il voit grand. Il veut avoir la Ligue des champions africaine. En tout cas, tout sera clair dans les prochains jours. Le problème de l'attaque existe toujours Le problème de l'attaque existe toujours au Mouloudia. Le départ de Hadj Bouguèche vers les Emirats Arabes Unis a laissé un grand vide dans le secteur offensif des Vert et Rouge. Le comble, c'est que les dirigeants du Mouloudia n'ont pas su résoudre ce problème malgré le recrutement à la pelle effectué. La venue d'un attaquant de gros calibre pour jouer les premiers rôles est nécessaire, surtout qu'il y aura la Champions League africaine à partir de février prochain. Attention, il y a urgence ! Départ aujourd'huià 10h45 La délégation mouloudéenne s'envolera ce matin à destination de Annaba à 10h45. Le voyage durera presque une heure. A noter que c'est le premier jour du stage de préparation. 11h 45 : départ par bus à destination de Hammam Bourguiba Après son arrivée à Annaba, la délégation mouloudéenne trouvera à son attente un bus luxueux qui l'emmènera à Hammam Bourguiba, une localité située dans la zone frontalière algéro-tunisienne. Séance d'entraînement après le f'tour Le Mouloudia arrivera à l'hôtel El-Mouradi, situé à Hammam Bourguiba, dans l'après-midi. Et c'est dans la soirée, soit après la rupture du jeûne, qu'aura lieu la première séance d'entraînement. Le double langage de certains dirigeants Mohamed Raouraoua a démasqué indirectement certains dirigeants du Mouloudia. Au cours de la conférence de presse qu'il a animée, le président de la FAF a déclaré : "Les vrais dirigeants du Mouloudia sont venus me voir pour me faire savoir que les déclarations qui sont parues dans la presse à propos du trophée n'engagent que leur auteur". Autrement dit, ces dirigeants-là, en l'occurrence Amrous et Tafat, se sont retournés contre Omar Gherib qui a fait un tapage médiatique à propos de la non remise du trophée de champion au Mouloudia. Ils ont donc enfoncé Gherib devant Raouraoua. Le problème n'est pas dans la remise du trophée ou non, mais dans leur comportement avec ce double langage. Oui, car, à la villa, on n'a jamais dit à Gherib de mettre un terme à ses agissements. Pis encore, personne n'a voulu le recadrer, et par leur silence, ils l'ont encouragé à continuer sur ce chemin, lui croyant qu'il avait le soutien de ses pairs, mais, finalement, il va se retrouver seul dans une situation délicate.