Il veut un divorce à l'amiable Avec une licence toujours de disponible pour effectuer le dernier renfort durant cette intersaison, l'entraîneur Abdelkader Amrani a souvent clamé son souhait de voir l'Ivoirien Fadiga revenir au club, après six mois passés en Libye. Lié au club bônois jusqu'en juin 2011, Fadiga n'était pas trop chaud à l'idée de revenir à l'USMAn, ce qui a fini par irriter le président Menadi qui refuse de brader le joueur, même s'il sera contraint de passer une saison blanche… Il veut un divorce à l'amiable Pas vraiment soucieux de venir dès la fin de saison écoulée à Annaba pour discuter sur place avec la direction et voir de plus près les intentions des dirigeants annabis et du coach Amrani, Fadiga, et après la clôture du marché des transferts en Algérie, espère trouver actuellement un arrangement avec le président Menadi pour résilier son contrat à l'amiable. Il met en avant le manque de soutien de la direction Après avoir passé de longues vacances chez lui en Côte d'Ivoire, Fadiga ne veut nullement porter le costume du fautif, tenant à rappeler à maintes reprises que ce sont les dirigeants annabis qui n'ont jamais tenu à le contacter depuis son départ en Libye. Ce qui a fini par exaspérer le joueur qui a senti qu'il n'était plus le bienvenu à l'USMAn. Le championnat libyen le séduit toujours... Malgré l'intérêt de son ancien club en Libye, rétrogradé en seconde division après le fameux refus de quelques éléments de disputer le match retour face à l'équipe nationale locale, Fadiga veut malgré tout retourner en Libye, pour évoluer dans un autre club de l'élite, surtout que la période des transferts n'est pas encore close, contrairement à l'Algérie. … mais pas pour un nouveau prêt Alors qu'il craint le fait de passer une saison blanche, ce qui nuira beaucoup à sa carrière de footballeur professionnel, Fadiga reste malgré tout confiant à l'idée de rejouer de nouveau cette saison dans le championnat libyen, mais en signant un contrat définitif, et non pas un simple nouveau prêt de la direction annabie, lui qui regrette d'avoir signé un contrat de trois ans lors de sa venue au club bônois. La direction annabie refuse de le libérer gratuitement Si Fadiga se montre confiant et enthousiaste à l'idée de trouver un accord qui arrangerait les deux parties, la direction annabie ne veut nullement traiter ce dossier à la légère, puisqu'elle exige pas moins de 400 millions pour lâcher l'Ivoirien et lui offrir sa lettre de libération, refusant ainsi la moindre éventualité de le céder gratuitement alors qu'il est toujours sous contrat. Le joueur risque de passer une saison blanche Indésirable à l'USMAn, le joueur polyvalent Fadiga n'aura pas d'autre choix que de revenir rapidement à Annaba pour négocier sa lettre de libération, ou ramener le club libyen qui veut l'engager pour négocier directement avec la direction bônoise, s'il veut encore jouer cette année, car il risque de passer une année blanche, s'il en arrive au clash avec le président Menadi.