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ESS : O Béja – ESS, le 2 novembre
Publié dans Le Buteur le 16 - 09 - 2010

Belhout : “Face à l'EST, j'ai éteint mon téléviseur par dépit en 2e mi-temps”
L'Entente de Sétif se déplacera le 2 novembre prochain, à Béja, pour rencontrer l'Olympique locale. Le match se jouera en nocturne, à partir de 20 heures. Il est utile de souligner que c'est Hakim Bourahla qui a représenté l'Entente de Sétif, lors du tirage au sort des différentes compétitions de l'UNAF.
Le stade Boujemaâ Kmiti d'une capacité de 8 000 places
Le stade de Béja tire son nom d'un ancien joueur de l'Olympique. Sa capacité est loin de satisfaire l'affluence que connaîtra le match qui opposera le club de la ville à l'Entente. Il va sans dire que les fans d'El Kahla vont à coup sûr se déplacer en masse. Le match se déroulera probablement à guichets fermés. On n'en est pas encore là, car il reste 45 jours avant la date de la rencontre.
Est-il homologué pour une compétition maghrébine ?
La question mérite d'être posée. La capacité d'un stade est une condition nécessaire pour son homologation. L'O Béja reçoit, en effet, dans un stade qui ne remplit pas tous les critères à même de se dérouler dans de bonnes conditions. D'ailleurs, ils sont rares les stades en Tunisie de la capacité de Radès, Sfax, Sousse ou du mythique d'El Menzah. Toutefois, cela s'explique par le fait que la ville de Béjà compte une population de 15 000 habitants. C'est dire qu'un stade de 8 000 places suffit largement aux supporters du club.
ESS-O Béja, le 23 novembre
Le match retour entre les deux équipes est prévu le 23 novembre à 18h30, sur le tartan du stade du 8-Mai-45. L'Entente a choisi cette date en tenant compte de celles du championnat.
Nesma veut organiser une coupe franco-maghrébine
En marge du tirage au sort de la Coupe de l'UNAF, le président de Nesma TV a annoncé son souhait d'organiser une rencontre annuelle franco-maghrébine. Selon Karoui, le vainqueur de la Supercoupe maghrébine rencontrerait le champion de Ligue1 française ou le vainqueur de la Coupe de France. Nesma TV, qui attend une réponse de la Ligue nationale française pour donner son accord, était le sponsor de la finale de la Super coupe entre le PSG et l'OM. Le match s'est joué à Radès, en Tunisie. C'est dire si les responsables de cette chaîne ne lésinent pas sur les moyens pour accaparer les téléspectateurs du Maghreb.
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Belhout : “Face à l'EST, j'ai éteint mon téléviseur par dépit en 2e mi-temps”
Rachid Belhout, aujourd'hui à la tête de la barre technique de l'Olympique Béja, retrouve l'Entente sur son chemin, à l'occasion de la Coupe des vainqueurs de Coupe du Maghreb.
L'Olympique Béja aura comme adversaire l'Entente de Sétif, votre ancienne équipe ; quel effet cela vous fait-il ?
La rencontre aura pour moi un caractère assez particulier. Je vais rencontrer le club dont je me considère un fervent supporter. La confrontation sera différente des précédentes.
Sur quels points la rencontre sera différente ?
J'ai dirigé des clubs du championnat d'Algérie comme l'ASO, l'USMA ou le MCEE. Mais, cette fois, on va disputer avec l'ESS un trophée maghrébin. Et l'Entente est une habituée des grandes compétitions depuis au moins cinq ans.
Souhaitiez-vous tomber dans le même groupe que l'ESS au moment du tirage au sort ?
Sincèrement, je voulais rencontrer l'Entente en finale. Le plus joli, c'est que je vais à nouveau retrouver les supporters de l'ESS à Sétif et même à Béja.
Quelles sont les chances de Béja dans cette Coupe de l'UNAF ?
Béja n'a pas l'expérience de l'Entente sur le plan continental. Nous jouerons nos deux matchs sans aucun complexe. On va se faire plaisir d'autant plus que l'Olympique Béja n'a plus participé à une compétition internationale depuis 18 ans.
Etes-vous à l'écoute des résultats de l'ESS ?
Bien sûr, même quand je résidais en Belgique, j'étais toujours à l'écoute des résultats de l'Entente en tant que supporter. Je suis très heureux de savoir que l'ESS a gagné de nombreux titres ces quatre dernières années. Il ne reste plus que le titre de Ligue des champions pour réussir le grand chelem.
Vous avez sans doute suivi le parcours de l'Entente en Ligue des champions…
J'étais très déçu, j'ai éteint mon téléviseur en deuxième mi-temps (match EST-ESS, ndlr). L'Entente avait la possibilité d'aller très loin dans cette compétition, malheureusement les erreurs du début du parcours ont coûté cher à l'équipe. Le plus important, c'est de savoir apprendre de ses erreurs pour avancer. Mais en Algérie, il y a cette particularité de ne pas profiter de se corriger quand on gagne. C'est après une victoire qu'il faut se corriger, quand on perd un match et qu'on est éliminés, ce sera trop tard. On ne peut plus revenir en arrière.
Votre relation avec Serrar s'était considérablement détériorée après l'élimination face à l'équipe égyptienne de l'ENPPI. Comment sont-ils vos rapports avec le président après une année de rupture ?
Le monde du football est ainsi fait. On peut vivre certains conflits. Puis, les esprits se calment et chacun doit prendre du recul. Et si, en ce qui me concerne, j'avais reconnu mes fautes lors de mon expérience avec l'Entente, Serrar devait aussi admettre qu'il avait fauté. En plus, si j'ai réussi en Belgique, en Algérie et en Tunisie, cela veut dire que c'est le fruit d'un travail et que cela n'avait rien à voir avec le hasard et la chance. Et si vous me dites que je n'ai pas décroché de titre avec l'ESS, je répondrai que j'ai réussi à instaurer une culture de la gagne et fait renaître de ses cendres l'Entente historique qui gagnait des titres et s'imposait dans les compétitions continentales. Cinq ans avant ma venue, l'ESS n'avait rien récolté.
Quels sont les reproches que vous feriez à la direction de l'Entente ?
La célérité dans le limogeage des coachs. On ne s'embarrasse pas trop. On réagit à la minute. Je prends les exemples de Portsmouth qui a gardé son entraîneur en 2010 malgré les 7 premières défaites en championnat. Virton, en championnat de Belgique, a gardé le même coach malgré sa relégation en 3e division. Aujourd'hui, il occupe le haut du tableau. L'Entente qui avait comme entraîneur le défunt Mokhtar Aribi l'avait gardé après sa relégation en Division 2 et cela n'avait pas empêché le club de remporter la Coupe d'Afrique en 1988. La stabilité est nécessaire dans les clubs algériens. En limogeant un entraîneur dès son installation, le club reconnaît implicitement qu'il a fait une erreur en recrutant le coach.
Quelle est la différence entre l'Entente et les autres clubs que vous aviez drivés en Algérie ?
Je ne nie pas que j'ai appris lors de mes passages dans les différents clubs algériens. A chaque fois que l'idée du président était bonne, je la prenais en considération. Il n'y a pas de honte à le reconnaître. Certes, les supporters du MCEE m'avaient pris en grippe, mais je les comprends car ils tenaient à ce que je continue mon travail à El Eulma. Le plus beau en Algérie, c'est qu'à chaque fois qu'un entraîneur quitte un club, ses compétences sont mises en cause. Je eu mon diplôme en Belgique en 1988, au moment où le football avait atteint les sommets. Et je fais des recyclages à chaque fois que l'occasion se présente. Pour votre information, si la Fédération royale belge constate qu'un entraîneur ne fait plus de recyclage, elle lui ôte sa licence.


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