Il s'entraînera avec le groupe cet après-midi. Alors qu'il devait tout officialiser, hier, au siège du club, la nouvelle recrue de la JSK, le Brésilien Bruno Zanelli, n'a pas signé son contrat, bien que plusieurs documents nécessaires soient déjà fin prêts. En effet, le joueur a même été emmené par les représentants du club pour effectuer les examens médicaux d'usage. Le seul document qu'il reste, et non des moindres, c'est l'attestation d'international qui devait atterrir sur le bureau de Hannachi, hier en fin d'après- midi. Une fois le document reçu, le président de la JSK pourra automatiquement enclencher les négociations, alors que nous sommes à quelques heures de la fin du mercato. Il s'entraînera avec le groupe cet après-midi Si depuis son arrivée à Tizi, jeudi dernier, le Brésilien Bruno Zanelli, afin de garder sa forme, s'est astreint à un travail individuel au stade du 1er –Novembre. Aujourd'hui par contre, il aura l'occasion de faire connaissance avec ses futurs partenaires, à l'occasion de la reprise des entraînements. Zanelli s'entraînera pour la première fois avec l'équipe fanion avec laquelle il paraphera un contrat aujourd'hui voire demain. Son manager attendu ce matin au siège du club Hier, une source proche du club nous a fait savoir que le manager du joueur sera aujourd'hui à Tizi. Il s'entretiendra avec Hannachi concernant le recrutement de Zanelli. Il sera question de la durée et montant du contrat entre autres. Dans le cas où les deux parties arrivent à un accord définitif, il ne restera qu'à rédiger le contrat dûment signé pour ensuite le joindre avec autres pièces du dossier qui sera envoyé la LNFP. Zanelli officialisera tout aujourd'hui Selon les responsables de la JSK, l'attestation d'international du joueur, le document que la FAF exige pour tout recrutement de joueur étranger, devrait être reçue hier, en fin d'après-midi. Il ne manquera donc que la signature du joueur pour que l'opération recrutement hivernal soit bouclée, sachant que pour Choukri, le président Hannachi, qui s'est rendu, hier, à Chéraga a pu convaincre son homologue Medahi.