«Honnêtement, je n'ai pas trop réfléchi à ce que je faisais sur le coup. Azuka n'a jamais été visé, non loin de là. C'est un garçon que j'apprécie particulièrement. » * Vendredi face aux FAR, vous avez omis de serrer la main à votre coéquipier Azuka qui s'apprêtait à vous remplacer ; quelle en était la raison ? Honnêtement, je n'ai pas trop réfléchi à ce que je faisais sur le coup. Azuka n'a jamais été visé, non loin de là. C'est un garçon que j'apprécie particulièrement. C'est quelqu'un de très sympathique. Donc, il n'a jamais été question de le snober. C'est juste parce que j'étais très déçu de mon remplacement que je me suis dirigé directement aux vestiaires. Je n'ai même pas vu qui s'apprêtait à me remplacer. * Votre remplacement pouvait-il expliquer votre attitude ? Non, ça n'explique rien. Je sais que j'ai peut-être froissé quelques-uns, mais je n'ai jamais prémédité ça. C'était spontané, sous l'effet de la déception. On était menés au score et c'était quelque peu difficile de retenir ses nerfs sur le coup. * Revenons-en à votre avenir immédiat à la JSK : y a-t-il du nouveau ? Non, il n'y a rien pour le moment. Je pense que l'enchaînement des matches a relégué cette question au second plan. Pour le moment, la direction ne m'a pas relancé. Seulement, il n'y a rien qui presse. Il reste encore du temps. On pourra régler tout ça tranquillement. * Donc vous êtes toujours disposé à prolonger ? Oui, il n'y a pas de soucis. Si on trouve un accord, je prolongerai sans problème. Je suis prêt à terminer la saison au club. * Cela voudrait-il dire que vous n'êtes pas disposé à prolonger pour plus de six mois ? C'est à peu près ça. Franchement, je n'ai pas envie de me lier par un long contrat. Je préfère prolonger de six mois et après on verra. Car nul ne sait de quoi sera fait demain. C'est pour cela que je préférerai m'engager pour une courte durée. Entretien réalisé par Achour Aït Ali