On ne change pas une équipe qui … perd ! Difficile et délicate la situation du Mouloudia de Constantine à l'heure actuelle. Les derniers résultats ont placé le groupe dans une position de reléguable potentiel et ce, à la grande déception des supporters mocistes. Du statut de prétendant en force à la montée les camarades de Khenfsi n'ont qu'une idée quitter la zone rouge qui leur colle à la peau depuis un certain temps déjà. Mais à défaut de se pencher sur le vrai mal, l'on semble tergiverser dans le camp des Blancs, car il ne suffit plus de se rejeter la balle entre acteurs sur le terrain et autre administration du club. L'heure est à la mobilisation pour sauver ce qui peut l'être. Viendra ensuite le moment opportun de se faire entendre. C'est en tout cas le discours de ceux qui portent le club dans leur cœur. Ces derniers ont même lancé l'idée de mettre sur pied une cellule de crise en mesure de porter son aide avant qu'il ne soit trop tard. La courbe du moment ne prête à aucun optimisme et les efforts du staff technique fraîchement installés semblent insuffisants pour remettre sur rails une formation prise par le doute et les malaises. Vite au chevet d'un grand malade. On ne change pas une équipe qui … perd ! Au Mouloudia de Constantine l'on semble favoriser la devise de ne point changer une formation qui ne gagne… pas. C'est le scénario auquel nous assistons depuis longtemps déjà. Un même onze est souvent aligné en dépit de la piètre exhibition de quelques éléments qui ne jouent que grâce à leur… nom. Cela a eu pour effet de démobiliser les remplaçants qui estiment être en mesure d'apporter leur aide. Assas qui vient d'être recruté n'est pas concerné par ce constat car il n'a passé qu'un seul match à la tête de l'équipe. Ce qui devrait lui donner l'occasion de changer bien des choses. Attendons pour voir ses décisions dans le déplacement de Biskra qui ne semble pas facile pour le groupe mociste.