«Le dernier contact avec la JSK remonte à janvier dernier» Comme d'habitude, à l'approche de la période des transferts, les dirigeants entament les premières démarches pour recruter les joueurs dont le club a besoin. Dans la plupart des cas, ce sont les milieux de terrain et les attaquants qui sont les plus sollicités en cette période de la saison. A la JSK, on commence à citer certains noms qui intéressent le club kabyle. Pas plus tard qu'avant-hier, une source proche de Mohand Cherif Hannachi nous a révélé qu'on reparle au sein de la direction de l'attaquant asémiste, Bilel Mebarki. Pour ceux qui ont suivi de près le mercato hivernal, ils se rappelleront certainement du nom de ce joueur qui était à deux doigts de signer chez les Canaris. Mais à ce moment-là, les responsables oranais avaient refusé de le céder à la JSK du moment que le club jouait l'accession en Ligue 1. Les pourparlers furent donc reportés pour la fin de la saison. La piste Mebarki a donc été relancée sans qu'aucune démarche n'ait été entreprise pour l'instant. Pour sa part, le joueur, que nous avons contacté par téléphone, s'est montré très intéressé de tenter une expérience comme son ex-partenaire Nessakh, qui s'épanouit de jour en jour à la JSK. Sa lettre de libération coûterait 350 millions Lié pour une saison supplémentaire, Bilel Mebarki ne pourra quitter son club sans passer par les responsables du club asémistes. Même s'il n'a pas voulu trop se prononcer à ce sujet, tout porte à croire que les dirigeants du club oranais ne vont pas brader le joueur. La lettre de libération de Bilel coûterait pas moins de 350 millions de centimes, la même somme qu'a dû payer Chamseddine Nessakh lorsqu'il a quitté le club en question l'an dernier. Reste à savoir si les responsables kabyles trouveront un accord avec leur homologue, dans le cas où ils se montreraient aussi chauds pour l'enrôler l'été prochain. Affaire à suivre. --------------------------------------- «Le dernier contact avec la JSK remonte à janvier dernier» Etes-vous toujours lié par contrat avec l'ASMO ? Oui, je suis lié jusqu'en 2012. J'ai parlé récemment à mes dirigeants et m'ont fait savoir que je suis lié au club. Après une première tentative en janvier dernier, les responsables de la JSK avaient reporté les négociations avec les dirigeants de l'ASMO pour le mois de juin prochain. Y a-t-il du nouveau ? Au moment où je vous parle, non. Le dernier contact avec les dirigeants de la JSK remonte à janvier dernier. A ce moment-là, le président de section m'avait contacté pour me faire savoir que la JSK était intéressée par mes services. Mais les responsables de l'ASMO avaient refusé de me libérer car le club jouait l'accession. Pensez-vous qu'ils se monteront plus compréhensifs, cette fois-ci ? Je ne sais pas trop, car je ne leur ai pas encore parlé de mes contacts. Je pense le faire dans les prochains jours. Seriez-vous prêt à quitter l'ASMO pour la JSK ? Si les deux clubs trouvent un accord, oui. Je sais qu'en Algérie, la JSK est un club qui me permettra de m'épanouir comme l'a fait Nessakh. Je souhaite que les responsables de l'ASMO me faciliteront la tâche. En parlant de Nessakh, ce dernier a déboursé la somme de 350 millions contre sa lettre de libération. Êtes vous prêt à faire de même ? Pour l'instant, je dirais qu'il est un peu tôt pour se prononcer, car je dois d'abord m'entretenir avec mes responsables. D'autre part, j'ai entendu dire que la JSK veut toujours s'attacher mes services. J'attendrai les prochains jours pour avoir les idées plus claires.