Le président Nezar et Djamel Menad ont pratiquement conclu sur tous les détails concernant le contrat du coach. Le président Nezar et Djamel Menad ont pratiquement conclu sur tous les détails concernant le contrat du coach. On peut dire que les deux parties ont bouclé les négociations et auraient trouvé un terrain d'entente concernant tous les volets inhérents à l'engagement de l'ex-entraîneur de la JSMB. Un salaire de 90 millions par mois Menad et Nezar aurait trouvé un terrain d'entente en ce qui concerne le salaire du coach. Dans l'entourage du club, on laisse entendre que l'entraîneur toucherait un salaire de 90 millions de centimes par mois. Menad aurait aussi un droit de regard sur les nouvelles recrues. Saadi aurait demandé 110 millions par mois Comparé aux exigences de Saadi, le salaire de Menad n'est pas loin de la somme demandée par le premier nommé. Ce dernier avait discuté avec Nezar mais les deux parties n'ont pas trouvé un accord sur le salaire. Saadi aurait exigé un salaire de 110 millions. Les dirigeants du CAB se sont alignés aux exigences du marché de la Ligue1. L'éloignement, seule entrave qui pourrait empêcher la venue de Menad Si Menad a presque conclu avec le président Nezar, il reste un point sur lequel le président Nezar ne peut pas intervenir et c'est celui de L'éloignement, Menad étant installé à Alger. Mais, comment faisait le coach quand il drivait la JSMB ? Toutefois, des sources généralement crédibles laissent entendre que Djamel Menad a réservé sa réponse définitive pour aujourd'hui samedi. En principe, on devrait savoir très vite si l'ex-baroudeur de la JSK, de l'USMA et de l'EN driverait le CAB. Fezzani : «Si je vaux de la menue monnaie, je pars» Le milieu de terrain du CAB, Amine Fezzani, est dans tous ses états. Après avoir pris son chèque, il constate que la somme est loin d'être ce à quoi il s'attendait : «Le club me devait deux mois et demi, j'ai eu un chèque d'une somme équivalente à un mois de salaire. Je suis en colère, on m'a remis de la menue monnaie. Le comble, c'est ce que je n'ai trouvé personne à qui m'adresser. Le président ne répond plus au téléphone, quand il ne coupe pas carrément la communication. Si c'est comme ça qu'on réagit avec les joueurs qui ont cravaché dur durant deux saisons et ont réussi à faire accéder de nouveau le club en Ligue1, je dirai qu'il vaut mieux s'en aller. Si on m'avait dit que le club était en crise, financièrement parlant, j'aurais accepté. J'aurais patienté, mais cette façon de faire m'a choqué. Je suis dégoûté.» «On m'a enlevé 10 millions parce que j'étais suspendu face au SAM» «Les explications qu'on m'a données ne tiennent pas la route. On m'a ponctué dix millions de centimes sous prétexte que j'étais suspendu face au SAM. Je ne dois pas faire de faute sur le terrain. Pour toucher tout mon argent devant une situation grave dans un match, je laisse passer le joueur sans fauter. Comme ça, je serai tranquille et je serai certain de toucher mon argent. Je ne comprends pas pourquoi personne ne répond à mes doléances. Aucun interlocuteur depuis la remise des chèques. Je suis libre de tout engagement et je ne compte pas renouveler mon contrat avec le CAB.» «On n'a même pas eu une réception à l'occasion de l'accession» «C'est très désagréable de se voir traiter de la sorte. On a fait revenir le club en Ligue1, on avait droit à un peu d'égard de la part des responsables du club. On n'a même pas eu droit à une réception. C'est navrant d'être traité de la sorte.» «J'ai des contacts intéressants à Alger» «Je ne suis pas inquiet pour mon avenir. Je viens d'accéder, et les contacts ne manquent pas. Plusieurs managers m'ont téléphoné. J'ai des touches de clubs de Ligues 1 et 2. Il y a même un contact intéressant d'un club d'Alger évoluant en Ligue1.»