C'est fait, Zineddine Mekkaoui évoluera la saison prochaine sous les couleurs sang et or. C'est fait, Zineddine Mekkaoui évoluera la saison prochaine sous les couleurs sang et or. Un accord a été trouvé hier entre les responsables nahdistes et le président de l'USMA pour le transfert du joueur sous forme de prêt pour une année. Avant d'en arriver là, Mekkaoui avait eu auparavant une discussion avec les dirigeants nahdistes sur le sujet et a même rencontré le nouveau président Manaâ et négocié avec lui un éventuel contrat. Ce n'est qu'après avoir trouvé un terrain d'entente avec le joueur que les responsables du NAHD sont allés voir Allik pour négocier avec lui le transfert du latéral gauche usmiste. Comme indiqué plus haut, un accord a été vite trouvé. Mekkaoui a fait hier dans l'après-midi un saut au siège de l'USMA pour signer les documents nécessaires et devait se rendre en fin de journée au siège de son nouveau club pour régler les derniers détails avec ses nouveaux dirigeants et signer son contrat. En principe, Mekkaoui est depuis hier nahdiste. Il faut rappeler, enfin, que le départ du joueur, même s'il n'a pas été mis sur la liste des libérés, est directement lié à un conflit avec Kamel Mouassa. B. M. D'autres joueurs seront libérés Après avoir rappelé Benaoumeur, sept joueurs de l'effectif usmiste de la saison écoulée ont quitté définitivement le club. En plus des joueurs dont il a été mis fin à leur mission, Bensaci, Hosni et Oudni, Zemmamouche et Chouih, libres de tout engagement, ont décidé de partir, sans oublier Moncharé, contraint de plier bagage en raison des nouvelles lois de la FAF. Hier, c'était au tour de Mekkaoui de changer d'air en allant signer au profit du NAHD. Malgré tous ces départs, l'USMA sera appelée à libérer d'autres joueurs dans les jours qui viennent. On a atteint les 25 licences En effet, les nouvelles lois de la FAF n'autorisent pas plus de 25 licences par équipe, et plusieurs clubs n'en ont pas vraiment tenu compte. Certains d'entre eux se retrouvent aujourd'hui avec un effectif pléthorique et sont donc obligés de revoir leurs prévisions. Ce n'est pas encore le cas de l'USMA, mais les Rouge et Noir comptent, en l'état actuel des choses, 25 licences, celles des nouvelles recrues incluses. En d'autres termes, il n'ont plus droit à d'autres licences, et donc, plus aucune nouvelle recrue. Mais comme le recrutement n'est pas encore clos, on sera obligé de dégraisser davantage pour libérer d'autres places. Si l'on tient compte des intentions des dirigeants de l'USMA, il y aura au moins trois autres nouveaux joueurs, un en défense et deux aux avant-postes. Ce qui implique directement la libération de trois autres éléments. Pour bien comprendre, il va falloir désormais libérer un joueur pour qu'un autre puisse venir signer du côté de l'USMA. «La liste est encore ouverte», nous disait Allik il y a quelques jours, en parlant de celle des joueurs à libérer. Il y aura certainement des surprises, et bien sûr, des coups de gueule. Et les trois juniors ? En plus de tout cela, le staff technique de l'USMA et les responsables du club doivent tenir compte, à l'instar de toutes les formations du championnat, des nouvelles lois de la FAF, notamment celle qui concerne les trois juniors qui doivent figurer dans la liste des 18 – dont deux dans le onze rentrant – à chaque match officiel en compétition nationale. A l'USMA, les trois juniors qui seront régulièrement convoqués sont Meklouche, Benaldjia et Zitouni. B. M. Cas Benaoumeur Le RDV avec Allik reporté Comme on le sait, Akram Benaoumeur devait rencontrer hier son président après que ce dernier soit revenu sur sa décision de le libérer. Le joueur avait, rappelons-le, tout réglé avec les dirigeants du NAHD afin d'accompagner son coéquipier Mekkaoui chez les Sang et Or. Mais un coup de fil de Allik est venu tout remettre en question. Le latéral droit de l'USMA s'est retrouvé dans l'expectative ne sachant pas trop quoi faire, d'où le rendez-vous d'hier pour tirer tout au clair avec son premier responsable. Finalement, le rendez-vous n'a pas eu lieu et ce cas ne devrait pas être réglé dans l'immédiat.