Retour des joueurs clés... Le jeune attaquant Djemaouni, qui est revenu en force après une phase de doute sous l'ère du coach Assas, n'a pas hésité à reconnaître que l'actuel staff technique est à l'origine du travail bien fait : «Avec ce duo composé de Mechhoud et Laouar Mounir, nous avons réussi à prendre pas moins de seize points sur les dix-huit possibles. Ces chiffres prouvent, si besoin est, le bon travail qui est entrepris dans nos rangs. Me concernant, j'admets que j'ai passé des moments difficiles avec l'ancien coach à force de rester sur le banc et Dieu merci, j'ai retrouvé toute ma verve après la confiance que l'on m'a accordée ces derniers temps. Pour le groupe, j'estime qu'il est bon et qu'il pourrait réussir son objectif à condition de travailler dans le calme, la sérénité et avec les moyens nécessaires à différents niveaux. Chacun sait que l'accession exige des sacrifices et des moyens.» Retour des joueurs clés Pour son périlleux déplacement à Oran afin de donner la réplique à l'ASMO, le staff technique composé du duo Mechhoud-Laouar Mounir va devoir compter sur la récupération de deux éléments clés de l'échiquier mociste. Le défenseur Benayada et l'attaquant Yazid qui étaient sous le coup d'une suspension ont donc purgé et seraient aptes à renforcer le collectif dans une rencontre des plus importantes pour l'équipe constantinoise. Reste à savoir si le staff va entreprendre les changements ou confirmer le onze qui a battu de belle manière la formation de Merouana à Hamlaoui. Bourfâa : «Je ne donnerai plus un sou !» Celui qui pour l'heure avait la direction de la gestion de l'équipe, en l'occurrence Bourfâa, s'est dit outré par certains comportements des membres du conseil d'administration ces derniers temps. Il vient d'affirmer qu'il ne mettrait plus la main à la poche pour subvenir aux besoins des joueurs. Il a même évoqué la prime du match de l'AB Merouana en confirmant que c'est aux autres dirigeants de trouver une solution. Pour la prime en question, elle est de l'ordre de quatre millions par joueur. Est-ce de nouveau le torchon qui brûle ?