Le divorce avec Teriaki ayant été consommé, les responsables du NARBR ont fini par jeter leur dévolu sur le duo Herguema-Yahiaoui qui a déjà fait ses preuves en menant comme il se doit sa mission en dépit de la conjoncture d'alors qui n'était nullement réjouissante. S'étant trouvé devant une situation un peu embarrassante quant au choix de celui qui devrait mener à bon port le bateau réghaoui, le président de l'ASC n'a pas tergiversé en se rappelant le travail colossal fait par ces deux éducateurs lors de leur dernier passage à le tête du staff technique de l'équipe fanion. Il faut dire que les deux parties n'ont pas trouvé de difficulté pour s'entendre sur tous les plans, particulièrement l'aspect pécuniaire qui demeure dans la plupart des cas un véritable casse-tête pour les parties opposées. A. Ahnia
Oughalim tire sa révérence Celui dont on disait qu'il allait continuer à présider aux destinées du NARBR, à long terme, Oughalim en l'occurrence, a fini par jeter l'éponge, après seulement six mois de présence effective à la tête de la section. Des divergences disent certains, une incompatibilité d'humeur, répliquent d'autres sont la source de ce divorce qui n'était nullement prévu quand on sait que le président de section n'arrêtait pas, il y a à peine quelques jours, de se targuer de pouvoir propulser le NARBR en Super D2. Mais depuis, les choses se sont, semble-t-il, détériorées entre le désormais ex-président de section et des membres de l'ASC qui lui reprochent son manque de tact et son désir de faire dans l'hégémonie dans la prise de décision. Cette façon d'agir n'a pas été du goût du premier responsable de l'association et de ses assesseurs qui ne se sont pas gênés pour le lui faire savoir. Face à la sortie musclée de certains, Oughalim n'a eu comme seule alternative que de jeter l'éponge au grand dam de beaucoup de personnes qui considéraient, il y a quelque temps déjà, que la présence de ce dernier ne cadrait pas du tout avec l'envergure du club (sic). Toujours est-il, il est fort probable que dans les tout prochains jours, les langues se délient et on connaîtra la ou les raisons pour lesquelles Oughalim a tiré sa révérence.