Ça a chauffé à la mi-temps dans le tunnel... L'arbitre international Benouza a de nouveau passé un après-midi de chien au stade Hamlaoui. Un arbitrage des plus discutables et des décisions fortement remises en cause ont donné l'opportunité aux joueurs, dirigeants et supporters mocistes de déverser leur colère à l'adresse d'un arbitre loin, très loin de la valeur supposée. Il a été insulté, bousculé, à la limite agressé sans pouvoir réagir comme habituellement. Ce qui sous-entend qu'il avait tout simplement beaucoup de choses à se reprocher. Pour un second match à Hamlaoui après celui du CSC devant l'USM Alger, cet arbitre s'est illustré de la manière la plus discutable possible. A quand la prochaine venue de Benouza à Constantine Messiers les chargés de la désignation ? Ça a chauffé à la mi-temps dans le tunnel Loin des regards de la presse et autres supporters, le passage de Benouza vers les vestiaires aurait été chaud, très chaud même. Il a failli être agressé selon ce qu'il a notifié sur la feuille de match en attendant le fameux rapport. Sur celle-ci, il a transcrit que l'entraîneur Assas et le président Madani Kamel auraient tenté de l'agresser et aussi incitation au désordre. D'ailleurs, le coach constantinois a vu rouge puisqu'il n'était pas sur le banc pour la seconde mi-temps de sa formation. C'est l'heure des calculs pour le groupe Les camarades de Boulemdaïs se sont mis dans de sales draps avec le ratage de deux points devant Paradou. Ce qui devrait permettre à l'équipe d'entamer des calculs les plus fous en prévision des deux rencontres restantes et qui restent celle de Merouana et l'ASM Oran. Un autre suivi sur les résultats des formations jouant leur survie est aussi d'actualité.