Yahla : «Pour Hadji, on demande 800 millions» Même s'il ne fait pas la une des journaux, le défenseur polyvalent Sofiane Mebarki reste non seulement une valeur sûre de l'élite, mais aussi l'un des meilleurs éléments à son poste. A 26 ans, le natif de Maghnia, qui est un titulaire indiscutable dans le onze de départ de l'entraîneur Abdelkader Amrani, ne sait pas s'il devra poursuivre l'aventure au sein du club phare des Zianides, lui qui se trouve en fin contrat cet été. Il fait partie des cadres de l'équipe Si le capitaine Anouar Boudjakdji et l'expérimenté Rabie Belgheri sont les leaders du groupe, Sofiane Mebarki, qui n'est pas pourtant un enfant du club, fait partie des cadres de l'équipe, lui qui n'a pas trouvé le moindre mal à s'imposer dès sa venue du CRB. Même en tant qu'arrière droit, il a été performant Alors qu'il ne rate aucune occasion pour clamer haut et fort qu'il est plus un défenseur central que joueur de couloir, Sofiane Mebarki a pourtant évolué durant la quasi-totalité de la saison comme arrière droit, en laissant sa place dans l'axe à la paire Boudjakjdi-Messouadi, tout en rendant souvent des copies assez correctes. Il n'est pas contre l'idée de rester, mais… Voulant connaître davantage les intentions du joueur, nous avons appris d'une source proche de l'intéressé qu'il n'est pas contre l'idée de rester au WAT, en attendant néanmoins de se réunir avec les dirigeants widadis, afin de discuter de ses arriérés, avant de négocier le montant de son nouveau contrat. D'autres clubs de l'élite l'ont sollicité Si la direction tlemcénienne devra faire le nécessaire pour le convaincre de rester une saison de plus au WAT, Sofiane Mebarki ne manque pas de prétendants apparemment, car plusieurs clubs veulent sauter sur l'occasion, vu que le joueur est libre de tout engagement. Le CRB le veut en compagnie de Boussehaba Parmi les pistes les plus sérieuses, on trouve celle du CRB dont les dirigeants algérois veulent convaincre Mebarki de revenir de nouveau au club, en compagnie de Brahim Boussehaba, son ancien coéquipier au WAT et au CRB. Vers un sort à la Bachiri ? Se trouvant dans la même situation l'été dernier, Redouane Bachiri, qui avait mis la barre très haut à l'époque, a décidé de rejoindre la JSMB, ce qui a poussé les dirigeants widadis à recruter de justesse Abdelkader Messaoudi. Afin d'éviter de se retrouver dans une situation similaire cette saison, la direction pourra passer rapidement à l'action, en convoquant les joueurs en fin de contrat, avec l'espoir de ne pas perdre l'un des meilleurs joueurs widadis. ------------------------- Yahla : «Pour Hadji, on demande 800 millions» C'est désormais officiel ! Le pur produit de l'école widadie, Kacem Hadji, qui n'a jamais réussi à s'imposer au WAT, devra obtenir prochainement sa lettre de libération, lui qui est devenu l'un des chouchous du public mouloudéen qui a beaucoup apprécié l'apport du numéro 8 lors de la phase retour au MCA. Mais afin de défendre les intérêts du club, le président Abdelkrim Yahla, qui ne veut pas briser pour autant la carrière du joueur en l'obligeant de rester à Tlemcen contre son gré, a pris la décision, en compagnie des autres membres de la direction, de fixer le montant de la lettre de libération de Hadji à 800 millions. «On a besoin de 3 à 4 milliards dans les jours à venir» En attendant le 1,2 milliard de centimes du ministère, qui devra bientôt garnir les caisses du club, le président tlemcénien nous a confié que durant la réunion de jeudi soir avec les autres membres de la direction, il a beaucoup évoqué le problème financier, et la nécessité de rassembler entre 3 et 4 milliards durant les jours à venir, afin de non seulement payer les arrières des coéquipiers de Sameur, mais aussi d'assurer un recrutement de qualité. «On va négocier avec les joueurs libérés» S'il ne nie pas que l'entraîneur Amrani lui a donné une liste de joueurs à libérer, il refuse pour autant de la rendre publique, vu qu'il va les rencontrer, afin de négocier probablement une baisse de salaire, s'ils veulent toujours rester au WAT ou de céder une partie de leurs arriérés contre leur lettre de libération pour les joueurs toujours sous contrat.