Pardew défend son recrutement made in France. Invité dans l'émission Téléfoot hier matin, le milieu offensif de Newcastle Hatem Ben Arfa est revenu sur l'interview au cours de laquelle il s'était dit séduit par le Paris-SG : «On en a beaucoup parlé, mais ce n'était pas un appel du pied. On m'a demandé si le Paris Saint-Germain était mon club de cœur. Il l'est, je suis Parisien. Depuis que je suis petit, je supporte le PSG, un club qui me faisait rêver du temps de Weah, Valdo et Ginola. Un jour, j'aimerais bien y jouer, c'est un rêve d'enfant. Mais si Newcastle se montre très ambitieux et met tout en œuvre pour, je resterai.» Une autre façon de laisser la porte grande ouverte à l'éventualité de retourner en Ligue 1, après des expériences à l'OL et l'OM. Pardew défend son recrutement made in France Après avoir réussi un surprenant recrutement lors de ce mercato hivernal, en achetant le Toulousain Moussa Sissoko, le Bordelais Yoan Gouffran, le Nancéien Massadio Haïdara, le Lillois Mathieu Debuchy et le Montpelliérain Mapou Yanga-Mbiwa, l'entraîneur de Newcastle Alan Pardew a justifié cette politique par le rapport qualité-prix imbattable des joueurs tricolores : «Il y a un peu plus de valeur sur le marché français. Nous avons joué là-dessus. Prenez l'exemple de Wilfried Zaha (pour qui Manchester United pourrait dépenser plus de 15 millions d'euros, Ndlr). J'aime Zaha. Je voulais le prendre, mais nous n'avions aucune chance. Nous ne pouvons pas le payer. Nous avons eu quatre joueurs pour son prix. C'était l'occasion d'obtenir de bons joueurs à un prix qui nous convient», a expliqué le coach anglais en conférence de presse.