Départ cet après-midi pour Oran Un mot sur le match nul contre le MOC... C'était un match que nous avons raté bêtement, vraiment, c'est rageant de perdre de précieux points à domicile. Ainsi, malgré notre détermination sur le terrain, nous avons laissé filer une bonne occasion. En plus, notre adversaire s'est contenté seulement de défendre, et cela nous a beaucoup gênés. Voilà, il y a des jours où rien ne marche, et face au MOC, nous avons passé complètement raté notre match. A la fin de la partie, nous avons des regrets. A quel niveau ça s'est bloqué, réellement ? Comme notre adversaire se trouvait dans la même situation que nous, où six points étaient en jeu, malheureusement, la pression qui pesait sur nous et la précipitation devant les bois nous ont pénalisés, sans compter la malchance, car on avait raté plusieurs occasions nettes de scorer. Dans ce genre de match, ça ne se pardonne pas. Finalement, cela s'est joué sur le plan mental. Vous avez compliqué votre situation au classement, n'est-ce pas ? C'est vrai, en ratant ce match face au MOC, nous avons compliqué notre situation, car la victoire nous aurait permis de nous éloigner de la relégation. En fin de compte, on s'est contentés d'un point, ce qui veut dire que notre situation n'est pas du tout rassurante, et on doit nous racheter lors des prochaines rencontres, pour assurer notre maintien en Ligue 2. Même si la mission sera difficile, le MCS a les moyens d'atteindre cet objectif. Ce vendredi, vous allez affronter l'ASMO. Comment se présente cette rencontre ? C'est un match très important pour la suite de notre parcours, et notre maintien dépendra de cette confrontation, ce qui veut dire qu'on jouera pour la gagne, du moment que nous n'avons pas le droit de rater ce rendez-vous. Ainsi, même si le match se jouera en dehors de nos bases, notre groupe est conscient de la tâche qui l'attend, ce samedi, au stade Bouakeul, car notre avenir en Ligue 2 dépendra de cette confrontation, ce qui veut dire que le MCS doit sortir le grand jeu pour aller chercher le bon résultat qui nous rendra l'espoir et la sérénité, avant de continuer notre chemin en championnat. Donc, l'erreur n'est pas permise... Effectivement, le faux pas n'est pas permis, ce samedi, face à l'ASMO, car après avoir raté le match contre le MOC chez nous, nous sommes dans l'obligation de nous racheter. En effet, un autre mauvais résultat compliquera davantage notre position en bas du tableau, ce qui veut dire que nous sommes contraints de faire un grand match et revenir à Saïda avec au moins un point. L'essentiel est de ne pas perdre. A présent, notre groupe compte relever le défi, car c'est l'avenir du club qui est en jeu. Etes-vous capables de créer la surprise en dehors de vos bases ? Après notre dernier semi-échec at home, nous sommes dos au mur, et le MCS est dans l'obligation d'aller chercher les points perdus à Saïda. Ainsi, face à l'ASMO, nous n'avons d'autres choix que de renouer avec les bons résultats. D'ailleurs, notre équipe s'est bien préparée pour ce rendez-vous, et sur le terrain, on fera tout pour arracher les trois points, car notre maintien en dépendra. Mais ça ne sera pas une mince affaire pour vous... C'est vrai, car nous allons affronter une solide équipe de l'ASMO sur son terrain. En plus, elle jouera sans la moindre pression, du moment qu'elle a raté l'accession et est à l'abri de la relégation. Et même si la confrontation sera très difficile, nous sommes condamnés à faire un big match. Quelle sera la clé du match ? On est contraints de jouer l'attaque à outrance, et celui qui gagne les duels au milieu du terrain emportera la partie. En plus, il ne faut pas laisser l'adversaire s'exprimer aisément, tout en étant aussi efficaces à l'approche des bois, car cela se jouera sur des détails, donc, on devra retrouver cet aspect. ----------------- Entraînements au stade des Frères-Bracci Le MCS, qui a repris les entraînements lundi après-midi, a entamé sa préparation pour le match face à l'ASMO au stade 13-Avril-1958, doté en gazon naturel. Mais pour hier et aujourd'hui, cette équipe de Saïda a changé de lieu, en peaufinant sa préparation sur le tartan du stade des Frères-Bracci, comme celui de Bouakeul. Ainsi, le staff technique a prévu les deux dernières séances sur le tartan, afin d'adapter les joueurs à ce genre de surface. Départ cet après-midi pour Oran La direction du MCS a mis tous les moyens à la disposition de l'équipe, afin que les camarades de Megueni soient dans de bonnes conditions le jour du match face à l'ASMO. L'équipe de Saïda passera la nuit de jeudi à Oran, puisque, après la dernière séance d'entraînement, le MCS prendra la route vers Oran, à 14h, pour un trajet de deux heures. Ainsi, cela permettra aux camarades de Cheraïtia de récupérer et d'être prêts pour ce match. Un résultat probant s'impose Ce week-end, le MCS est appelé à réaliser un bon résultat face à l'ASMO, et cela va de soi, car le maintien se concrétisera inévitablement par un succès à Bouakeul, et ses joueurs auront une seule mission à accomplir, arracher les trois points. L'APC de Saïda tarde à débloquer la subvention Le président du MCS, Kiour, se trouve dans une position inconfortable, car les caisses du club sont vides, pour pouvoir régler les quatre mois de salaire aux joueurs. Et la promesse de l'APC, deux milliards de centimes, tarde à venir, afin de débloquer la situation et de renflouer les caisses du club. Ainsi, cela commence à peser lourd sur cette équipe à la veille d'un match très important face à l'ASMO, où la victoire est impérative pour les Saïdis. A présent, on voit mal comment les camarades de Bouhada vont être motivés. En ce moment, le MCS a besoin de sérénité pour continuer sa mission et assainir sa situation financière.