Tout est au point mort Parfois, les choses évoluent d'une manière inattendue et font tomber tous les efforts et calculs à l'eau de manière assez puérile. C'est ce qui est en train de se passer à la société khroubie actuellement. On a mentionné dans ces mêmes colonnes que la quatrième réunion allait se dérouler en fin de week-end passé pour officialiser certaines décisions et régler tous les soucis administratifs de la SSPA. Les choses n'ont pas évolué dans le sens souhaité. A part Khettabi et Aïssani qui se sont présentés au cercle du club, aucun autre actionnaire n'a répondu à l'appel, comme si ces réunions n'étaient pas importantes pour l'avenir du club. Cela a mis le président du CA et le futur président du conseil dans un état de colère et déception. Ce geste inattendu et carrément déplacé de la part des autres actionnaires en dit beaucoup sur leurs envies réelles et leur mauvaise foi. Sans aucune langue de bois, l'avenir de la société n'intéresse que Khettabi et Aïssani, le reste ne cherche que leurs intérêts personnels et la façon de récupérer leur argent. Comme on n'a pas la mémoire courte et qu'on se rappelle de tout, ces personnes qui bloquent l'évolution des choses actuellement sont les mêmes qui parlaient dans le passé de leur amour fort à l'ASK. Sans avoir honte, ils parlaient de cet amour imaginaire dans des conférences de presse qui sentaient l'hypocrisie. A présent, tout est découvert : Khettabi et Aïssani font preuve de patience, mais si cela continue sur ce rythme, on ne s'étonnera pas de les voir tout lâcher aussi et laisser l'état tel qu'il est. Khettabi aurait exigé 500 millions de chaque actionnaire Les manœuvres de certains actionnaires déplaisent beaucoup au premier responsable du club amateur, El Hani Khettabi qui est habité par une vraie bonne envie de faire des choses bien pour la SSPA. Selon nos informations, il veut changer quelques données. La première est le nombre de la part des actions de chaque actionnaire. Khettabi veut que chacun mette à l'avenir dans le capital un demi-milliard, alors qu'en 2010, certains sont entrés avec des parts de 50 et 100 millions, ce qui nous a donné un capital de la SSPA/ASK de 550 millions, consommé jusqu'au dernier centime durant les deux premières saisons sous l'ère du professionnalisme. La nouvelle exigence de Khettabi va peut-être arranger les choses et redresser la situation financière de la société, surtout que Khettabi veut que la SSPA redevienne autonome et n'aura pas besoin des subventions de l'Etat à l'avenir. Tout est au point mort Vu la situation de blocage qui existe à la SSPA et le CA, tout est au point mort actuellement. Ni recrutement de joueurs, ni renforcement de staff technique, ni planning pour la préparation estivale ni feuille de route, à part les contacts avec certains joueurs, tout reste suspendu pour le moment. Cela risquerait de coûter cher à l'avenir, et même l'argent ne risque pas de tarder, car une somme importante d'argent va entrer dans les caisses du club très prochainement. Pour l'utiliser intelligemment, il faut avant tout éclairer certaines choses administrativement parlant.