L'avenir du pays et de la nation est la garantie des acquis, qui sont liés à cet engagement conscient du programme politique mis en œuvre et, à travers lequel, les choix sont clairs et au service exclusif des populations. Le renforcement de la stabilité sociale et de la situation macroéconomique sont deux facteurs illustrés par la poursuite des orientations progressives vers le renforcement du système économique et du développement. Les progrès réalisés demeurent solides. Ainsi, ont été réunies les conditions d'un processus qui soit en mesure de hisser rapidement le développement au niveau des exigences du temps présent. En affirmant cette volonté percutante, l'Etat s'est doté de tous les moyens appropriés pour guider son action et son mouvement de changement féconds générant les variétés des mutations économiques, sociales et normatives de choix productifs. Un phénomène d'évolution qui s'est réactivé à chaque exercice budgétaire annuel ou complémentaire marquant l'introduction d'une dimension expansive dans un schéma exclusivement "dédié" à la croissance et au processus global de modernisation. Dans ce contexte, les ressources canalisées par l'Etat n'ont cessé de grandir au fil de chaque année, visant le plus pressé des besoins des populations, mais aussi une méthode à même de remédier aux lacunes mises en évidence par l'évolution de ce développement. Ce déterminisme socioéconomique, relatif à un développement équitable sur l'ensemble du territoire national, se traduit par une distribution des richesses entre les différentes couches de la population. Le plus fort de cette politique tourne en particulier sur l'élévation continue du niveau de vie et son articulation sur plusieurs facteurs et mesures dominant le quotidien des citoyens et inspirant de nouveaux horizons, où l'instauration dans toute sa plénitude des voies de réussite est privilégiée pour atteindre les objectifs que se sont fixés les pouvoirs publics : améliorer le niveau de vie des populations, protéger le pouvoir d'achat des plus démunis, lutter contre les écarts sans les revenus du monde rural et urbain et entre les différentes catégories sociale, d'une façon générale. Cela témoigne de la nouvelle détermination politique d'améliorer sa façon d'agir et de communiquer par le biais du "concret" avec les citoyens. Une définition très large de la gouvernance sur le plan national et local incitant les acteurs à suivre les orientations macroéconomiques propres à l'Algérie.