C'est un fait que, désormais, l'Algérie a les moyens de sa politique ; cela devient de plus en plus évident, à mesure que son développement se multiplie et prend l'aspect grandissant d'un peuple qui s'identifie dans cette politique et se modernise grâce à elle, par une "somme" thématique périodique et formelle de réalisations au bénéficie du peuple, qui gagne à chaque phase. C'est du moins ce qui se concrétise depuis quelques années au travers d'une approche consensuelle, qui va parfois extraordinairement loin avec un support financier, économique et technologique propre, comme relais de puissance de cette stratégie de développement. Vaut-il la peine de commenter ces arguments ? Est-il besoin de noter que le poids économique de l'Algérie se dessine progressivement pour atteindre des records mondiaux ? Cela fait entrer dans une logique que c'est ici, une stratégie incontestable en tant que "vitrine" d'une forte stabilité sur tous les plans. Elle est de même nature à tout régler chaque problème. D'abord, c'est pour cette raison évidente que les pouvoirs publics mettent en relief l'essence de la maîtrise totale de l'espace de cette évolution du développement qui galvaniserait à coup sûr les instruments de parvenir à des résultats éloquents, solidement implantés dans la réalité sociale de l'Algérien. Cela illustre également la détermination de la partie politique à accélérer le développement sous toutes ses formes et qui "mélange" savamment des méthodes adaptées à la conjoncture actuelle et qui sont en mesure d'avoir leur "mot" à dire pour influencer les obstacles qui empêchent la réalisation de ce progrès. Le projet de recherche d'une société aisée est l'arme "opérationnelle" du moment, dans le dessein évident d'entraîner d'autres acquis et d'autres victoires sur le sous-développement. Toute la question est là. Elle n'est rien d'autre que politique pour valoriser les espoirs du peuple à travers la mise en œuvre des directives du président Abdelaziz Bouteflika pour faire progresser les nombreux mécanismes qui prennent véritablement un nouveau départ, à condition que se concrétise la volonté politique ainsi affirmée à tous les niveaux et collectivement. A cela, il faut souligner que la confiance que le peuple accorde aux directives du chef de l'Etat accroît le sens des responsabilités et l'engagement de tous les gestionnaires, qui constituent la force capable d'engranger le meilleur épanouissement de l'Algérien et ce, avec plus de sacrifices au travail. On comprend que devant ce genre de "veille", l'Etat reste toujours serein pour mener dans l'efficacité ses prérogatives de développement.