Si pour l'écrasante majorité des Algériennes et des Algériens il y a ce sentiment de se sentir une fois de plus à l'aise en ce qui concerne la santé du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, les " sirènes " appelant à l'application de l'article 88 de la Constitution vont encore se faire de l "'angoisse et du mauvais en faisant le replay des images montrant le chef de l'Etat recevant successivement le Premier ministre, M. Abdelmalek Sellal et le chef d'état-major de l'ANP, le Général de corps d'armée, Ahmed Gaïd Salah, qui lui ont présenté respectivement un exposé sur l'activité du gouvernement et le second un exposé exhaustif sur la situation en Algérie. D'où les directives du chef de l'Etat à renforcer les moyens et les efforts pour sécuriser les frontières du pays. Un fait qui ne doit rien au hasard puisque le président Bouteflika a toujours eu cette vocation politique et le constant dévouement face aux défis actuels sur les plans interne et externe. Cela réjouit encore profondément le peuple. Deux images qui marquent l'évolution positive de l'état de santé du chef de l'Etat. Au-delà de leur effet qu'elles ont apporté au peuple, elles constituent un message rassurant quant à un prochain retour du Président au siège de la Présidence de la République pour aborder un certain nombre de dossiers, la loi de finances complémentaire pour l'exercice 2013 et la préparation de la rentrée politique et sociale, notamment. Les mêmes images sont aussi le meilleur témoin du suivi régulier du président Abdelaziz Bouteflika de la vie nationale et internationale et mettent ainsi un terme aux voix trompeuses sur son état de santé. En effet, ceux qui n'ont eu aucun respect pour Bouteflika en s'adonnant à des surenchères et des déclarations ironiques accompagnées de nombreuses rumeurs malsaines et orchestrées de l'intérieur et de l'extérieur du pays sur son état de santé, ne sont en fait que les héritiers d'une " éthique " à leur mesure de leur grande hostilité à l'égard de la Nation. Une éthique rétrograde qui représente des modes de pensée et d'agir de bon nombre d'ennemis du pays, du parasitisme interne et d'une vision fataliste sur l'avenir de la Nation algérienne. Si la lutte contre le terrorisme, l'avènement de la Réconciliation nationale ont contribué à anéantir les bases de ces forces rétrogrades qui ne pensent qu'en terme de malheur pour l'Algérie, il restera à l'unité nationale et à la morale républicaine conséquente de détruire les " survivances " de cet héritage, dont les " descendants ont reçu des cours d'imprégnation subversifs insidieux en rapport avec le soi-disant " printemps arabe ". A ce sujet, il conviendrait de situer chacune de ces manœuvres dans un contexte plus large au regard des dangers et des pièges qui se trament contre le pays. Il importe que l'accomplissement de ce devoir de vigilance, se traduise par davantage de prise de conscience, davantage de cohésion et de solidarité nationale, définitivement détournée des séquelles de l'intégrisme politique. C'est dire que la convalescence du président Abdelaziz Bouteflika ne devrait pas être l'occasion pour ces politiques médiocres, les agents ou les taupes de l'extérieur, de discréditer cet immense élan de stabilité politique et économique du pays pour enrichir impunément leur registre politicien. D'où la nécessaire mobilisation vigoureuse et infatigable contre ces dépassements au nom de la démocratie, les habitudes politiques nocives et les déviations idéologiques.