José Maria Marin, le président de la Confédération brésilienne de football, a confirmé, jeudi passé, son refus catégorique de toutes sortes de violence pendant la Coupe du monde, qui se déroulera au Brésil à partir du12 juin prochain. Il a souligné : " Les manifestations sont devenues une partie de la vie dans toutes les villes brésiliennes actuellement ".Marin a assuré, dans son communiqué à l'Agence presse allemande, que les manifestations doivent se dérouler dans un cadre de souveraineté de droit. Marin s'était rendu aux Etats- Unis à Miami, qui a organisé un congrès des confédérations d'Amériques du Nord et Centrale et des Caraïbes de football (concacaf), et la Confédération d'Amérique latine (conmebol), pour annoncer l'organisation par les Etats-Unis de la Copa americana en 2016 à l'occasion du centenaire de cette édition. Malgré tous les problèmes qu'a connus le Brésil, Marin a affirmé que toutes les commodités et infrastructures (stades, hôtels, etc…) seront complètement prêtes avant le coup d'envoi de la Coupe du monde au mois de juin prochain. D'autre part, il a minimisé de l'intensité du désaccord produit entre les deux ex-stars brésiliennes, Ronaldo le bénévole dans le comité d'organisation, et son ex-coéquipier en sélection Romario, qui a sévèrement critiqué les préparations du Mondial. Le président rajoute : " Les fans et les supporteurs brésiliens sont très intéressés par l'organisation du Mondial, et ils ne peuvent jamais entendre les détracteurs en ce moment-là, j'avoue que tout va bien et il n'y aura aucun problème ni au niveau de la Confédération, ni à la sélection nationale ", conclut-il.