La JS Saoura et le NA Hussein-Dey, engagés dans les différentes compétitions africaines interclubs de football, continuent leurs belles prestations en phase de poules, alors que le 3e représentant algérien, le CS Constantine, était mis au repos. En Ligue des champions, la JS Saoura a réalisé une excellente opération en s'imposant mardi soir à domicile face aux Congolais de l'AS Vita Club 1 à 0, à l'occasion de la 4e journée (Gr. D). Un petit but, signé Ziri Hammar, a suffi au bonheur des gars de Béchar qui ont relancé complètement leurs chances dans la course à la qualification pour les quarts de finale de l'épreuve, à deux journées de l'épilogue. Le club algérien occupe la 3e place du groupe D avec 5 points au compteur, derrière les Egyptiens d'Al-Ahly (7 pts) et les Tanzaniens de Simba SC (6 pts). Quant à l'AS Vita Club, elle occupe la dernière place avec 4 pts. Lors de la 5e journée, prévue les 8 et 9 mars, la JSS accueillera Simba SC dans un match décisif, alors qu'Al-Ahly, surpris par les Tanzaniens à Dar es Salaam (0-1), enchaînera avec un autre déplacement, à Kinshasa cette fois-ci, pour affronter l'AS Vita Club. Les deux premiers du groupe se qualifieront pour les quarts de finale. Pour sa part, le CSC, mis au repos forcé lors des 3e et 4e journées après la disqualification initiale de la formation d'Al-Ismaïly en raison des incidents survenus lors du match contre le Club Africain de Tunis comptant pour la deuxième journée de compétition, devra revoir son programme suite à la réintégration du club égyptien par la Confédération africaine de football (CAF). Ainsi, le CSC, champion d'Algérie sortant, devra livrer une double confrontation face au club égyptien en l'espace d'une semaine, les 23 février à l'extérieur et 2 mars au stade Hamlaoui de Constantine. "La Ligue des champions reste un objectif en dépit du retour d'Al-Ismaïly. Toutefois, la nouvelle programmation ne me plaît pas car comment peut-on jouer ces deux importants matchs en l'espace d'une semaine?", a pesté l'entraîneur français des "Sanafir", Denis Lavagne.