Scala, Mont-D'Or, rue Mahfoud-Dahmoun... ces endroits, situés dans l'un des quartiers les plus huppés de la capitale, souffrent pourtant de l'absence d'éclairage public, cette commodité essentielle et primordiale pour la sécurité du citoyen. De ce fait les résidants de ces quartiers n'osent plus mettre le nez dehors dès le crépuscule. Scala, Mont-D'Or, rue Mahfoud-Dahmoun... ces endroits, situés dans l'un des quartiers les plus huppés de la capitale, souffrent pourtant de l'absence d'éclairage public, cette commodité essentielle et primordiale pour la sécurité du citoyen. De ce fait les résidants de ces quartiers n'osent plus mettre le nez dehors dès le crépuscule. La rue Mahfoud-Dahmoun est plongée dans les ténébres depuis plusieurs mois, sans que cela ne semble, pour autant, interpeller la conscience des autorités communales. Cette rue passante est située dans l'un des quartiers les plus huppés de la capitale, à savoir El-Biar. Cette rue, plongée dans le noir, est de plus à proximité de l'un des plus grands hôpitaux d'Alger, en l'occurence celui de Birtraria. Cette absence de l'éclairage public, en plus de pénaliser gravement le quotidien des riverains, a vite transformé ce passage en coupe-gorge pour les nombreux patients se rendant vers les urgences de l'hôpital, ou pour se rendre au chevet d'un proche hospitalisé. L'éclairage public n'est certainement pas un luxe, que dire lorsqu'il s'agit de l'une des voies de la capitale. Il y va de la sécurité et même, sans exagération aucune, de la vie des citoyens. Le taux d'agressions, enregistrées au niveau de cette voie obscure, prend une ampleur inquiétante, de l'avis même des El-Biarois. Par manque d'éclairage, cette voie s'est très vite fait la réputation de la rue la plus dangereuse à El-Biar et il est conseillé de l'éviter et ne pas s'y aventurer seul, sauf en cas de nécessité absolue. Il est à signaler que l'ensemble des localités de la capitale ont, pourtant, bénéficié d'un programme complet de rénovation de leur éclairage public (opération qui a été menée par un bureau d'études lyonnais en 2008), la commune d'El Biar fait partie des localités algéroises ayant bénéficié de ce programme. Mais, force est de constater que cette municipalité continue, inexplicablement, à souffrir d'un manque flagrant en la matière. Car la rue Mahfoud-Dahmoun n'est pas la seule à pâtir de l'obscurité et de l'insécurité, puisque Scala et Mont d'or, deux autres localités de la commune d'El Biar, sont en effet très mal éclairés de l'aveu de leurs résidants. Ces derniers nous ont affirmé qu'ils ont interpellé, à maintes reprises, les responsables de l'APC d'El-Biar sans, affirment-ils, le moindre écho positif. Ces ténèbres qui engendrent forcément une grave insécurité, privent ces familles d'une vie normale où toute sortie nocturne est ionterdite. Le plus grave, c'est que souvent les groupes, qui sévissent la nuit, s'enhardissent même en plein jour. En effet plusieurs agressions, prenant pour cibles les femmes ou les vieilles personnes, ont été enregistrées dans la journée. Le nombre croissant de ces d'agressions a fait que les résidants d'El Biar tirent la sonnette d'alarme demandant aux autorités communales d'y remédier au plus vite. La rue Mahfoud-Dahmoun est plongée dans les ténébres depuis plusieurs mois, sans que cela ne semble, pour autant, interpeller la conscience des autorités communales. Cette rue passante est située dans l'un des quartiers les plus huppés de la capitale, à savoir El-Biar. Cette rue, plongée dans le noir, est de plus à proximité de l'un des plus grands hôpitaux d'Alger, en l'occurence celui de Birtraria. Cette absence de l'éclairage public, en plus de pénaliser gravement le quotidien des riverains, a vite transformé ce passage en coupe-gorge pour les nombreux patients se rendant vers les urgences de l'hôpital, ou pour se rendre au chevet d'un proche hospitalisé. L'éclairage public n'est certainement pas un luxe, que dire lorsqu'il s'agit de l'une des voies de la capitale. Il y va de la sécurité et même, sans exagération aucune, de la vie des citoyens. Le taux d'agressions, enregistrées au niveau de cette voie obscure, prend une ampleur inquiétante, de l'avis même des El-Biarois. Par manque d'éclairage, cette voie s'est très vite fait la réputation de la rue la plus dangereuse à El-Biar et il est conseillé de l'éviter et ne pas s'y aventurer seul, sauf en cas de nécessité absolue. Il est à signaler que l'ensemble des localités de la capitale ont, pourtant, bénéficié d'un programme complet de rénovation de leur éclairage public (opération qui a été menée par un bureau d'études lyonnais en 2008), la commune d'El Biar fait partie des localités algéroises ayant bénéficié de ce programme. Mais, force est de constater que cette municipalité continue, inexplicablement, à souffrir d'un manque flagrant en la matière. Car la rue Mahfoud-Dahmoun n'est pas la seule à pâtir de l'obscurité et de l'insécurité, puisque Scala et Mont d'or, deux autres localités de la commune d'El Biar, sont en effet très mal éclairés de l'aveu de leurs résidants. Ces derniers nous ont affirmé qu'ils ont interpellé, à maintes reprises, les responsables de l'APC d'El-Biar sans, affirment-ils, le moindre écho positif. Ces ténèbres qui engendrent forcément une grave insécurité, privent ces familles d'une vie normale où toute sortie nocturne est ionterdite. Le plus grave, c'est que souvent les groupes, qui sévissent la nuit, s'enhardissent même en plein jour. En effet plusieurs agressions, prenant pour cibles les femmes ou les vieilles personnes, ont été enregistrées dans la journée. Le nombre croissant de ces d'agressions a fait que les résidants d'El Biar tirent la sonnette d'alarme demandant aux autorités communales d'y remédier au plus vite.