La cité VRD, contrairement à ses initiales, n'est pas un quartier totalement servi au plan de la voirie et de réseaux divers bien que située à proximité de l'important oued Etolba qui traverse la localité. La situation dans ce quartier datant des années 1980 reste préoccupante car, en plus d'un éclairage public quasi insignifiant, le danger potentiel provient de cet oued qui risque de causer des dégâts car ses embouchures en plusieurs endroits causent des désagréments en dépit des travaux de confortement entrepris sous l'égide de la Direction de l'hydraulique. Plus cocasse encore, cet anonymat par lequel on continue à désigner les lieux, VRD. D'autres quartiers, tous aussi anonymes à l'exemple des cités dites 220 logements et 60 + 10 logements, bien qu'ils accueillent des milliers de citoyens, n'en continuent pas moins de pâtir des conséquences de l'absence de transport, d'éclairage et de dégradation avancée d'espaces verts nouvellement créés par l'OPGI. Pour le transport, la dégradation des routes fait rechigner les transporteurs privés et publics. Pour la sécurité des biens et des personnes, les citoyens se résignent en attendant des jours meilleurs.