Des espaces sont plongés dans l'obscurité totale, au grand dam des riverains qui redoutent les agressions et les vols. Les anciens lampadaires sont inopérants car les ampoules grillées n'ont pas été remplacées depuis des mois. Des espaces sont plongés dans l'obscurité totale, au grand dam des riverains qui redoutent les agressions et les vols. Les anciens lampadaires sont inopérants car les ampoules grillées n'ont pas été remplacées depuis des mois. Dans le cadre de l'amélioration du cadre de vie des citoyens, les pouvoirs publics ont alloué, ces dernières années, des enveloppes colossales aux 34 communes de la wilaya. L'éclairage public a été sérieusement pris en charge par les responsables locaux, à l'écoute des préoccupations de leurs administrés qui se plaignaient, à juste titre, de certaines insuffisances électriques au niveau de leurs quartiers. A titre illustratif, le chef-lieu de wilaya a retrouvé son aura puisque des entreprises privées, qui avaient arraché des soumissions, ont mobilisé d'énormes moyens humains et matériels pour concrétiser rapidement cet ambitieux programme. Les ronds-points de Bab Annaba, Bab Skikda, Bab Souk-Ahras et Bab Sedrata sont désormais illuminés judicieusement par des candélabres dernière génération qui confèrent à la ville un cachet de gaité, de chaleur et de quiétude. D'autre part, la rénovation de l'éclairage public a ciblé les boulevards du 1er-Novembre, Souidani-Boudjemaâ, Gahdour, de l'hôpital Okbi, des cités Champ-de-manœuvres, Aïn Defla, Bara, Rahabi, des rues Emir Abdelkader, Séridi-Mostefa, Ali-Chorfi et autres. Les Guelmis sont ravis de cette métamorphose et ils ont l'opportunité d'évoluer sereinement dès la tombée de la nuit. Cependant, certains secteurs de la ville n'ont pas encore bénéficié de ces projets salutaires, à savoir les cités Bon accueil, Bensouilah, les abords immédiats de la mosquée Imam Malek, le square sis à l'arrière de la place du 19-Mars et de l'emblématique bâtiment Septième, certaines rues de la vaste cité Tahar-Gahdour, etc. Chaque nuit, ces espaces sont plongés dans l'obscurité totale, au grand dam des riverains qui redoutent des agressions et des vols. Selon nos interlocuteurs, les anciens lampadaires sont inopérants car les ampoules grillées ne sont pas remplacées depuis des mois. Dans ce contexte, la municipalité de Guelma ne possède pas de moyens financiers, humains et matériels pour assurer efficacement la maintenance et l'entretien de l'éclairage public. Elle ne possède pas de camions-nacelles qui permettent une intervention rapide au niveau du chef-lieu de wilaya en perpétuelle expansion et qui abrite plus de 160 mille âmes. Une formule avait été suggérée dernièrement par des élus de l'APW, en l'occurence des conventions que signerait l'APC avec des entreprises privées pour veiller concrètement sur l'éclairage public. Mais cette option n'a pas été retenue faute de ressources financières car les prestations proposées seraient exorbitantes. De toute évidence, il appartient aux autorités concernées de prendre en charge cette doléance citoyenne. H. B. Dans le cadre de l'amélioration du cadre de vie des citoyens, les pouvoirs publics ont alloué, ces dernières années, des enveloppes colossales aux 34 communes de la wilaya. L'éclairage public a été sérieusement pris en charge par les responsables locaux, à l'écoute des préoccupations de leurs administrés qui se plaignaient, à juste titre, de certaines insuffisances électriques au niveau de leurs quartiers. A titre illustratif, le chef-lieu de wilaya a retrouvé son aura puisque des entreprises privées, qui avaient arraché des soumissions, ont mobilisé d'énormes moyens humains et matériels pour concrétiser rapidement cet ambitieux programme. Les ronds-points de Bab Annaba, Bab Skikda, Bab Souk-Ahras et Bab Sedrata sont désormais illuminés judicieusement par des candélabres dernière génération qui confèrent à la ville un cachet de gaité, de chaleur et de quiétude. D'autre part, la rénovation de l'éclairage public a ciblé les boulevards du 1er-Novembre, Souidani-Boudjemaâ, Gahdour, de l'hôpital Okbi, des cités Champ-de-manœuvres, Aïn Defla, Bara, Rahabi, des rues Emir Abdelkader, Séridi-Mostefa, Ali-Chorfi et autres. Les Guelmis sont ravis de cette métamorphose et ils ont l'opportunité d'évoluer sereinement dès la tombée de la nuit. Cependant, certains secteurs de la ville n'ont pas encore bénéficié de ces projets salutaires, à savoir les cités Bon accueil, Bensouilah, les abords immédiats de la mosquée Imam Malek, le square sis à l'arrière de la place du 19-Mars et de l'emblématique bâtiment Septième, certaines rues de la vaste cité Tahar-Gahdour, etc. Chaque nuit, ces espaces sont plongés dans l'obscurité totale, au grand dam des riverains qui redoutent des agressions et des vols. Selon nos interlocuteurs, les anciens lampadaires sont inopérants car les ampoules grillées ne sont pas remplacées depuis des mois. Dans ce contexte, la municipalité de Guelma ne possède pas de moyens financiers, humains et matériels pour assurer efficacement la maintenance et l'entretien de l'éclairage public. Elle ne possède pas de camions-nacelles qui permettent une intervention rapide au niveau du chef-lieu de wilaya en perpétuelle expansion et qui abrite plus de 160 mille âmes. Une formule avait été suggérée dernièrement par des élus de l'APW, en l'occurence des conventions que signerait l'APC avec des entreprises privées pour veiller concrètement sur l'éclairage public. Mais cette option n'a pas été retenue faute de ressources financières car les prestations proposées seraient exorbitantes. De toute évidence, il appartient aux autorités concernées de prendre en charge cette doléance citoyenne. H. B.