Dans le cadre du prochain programme quinquennal, un important projet d'irrigation de 8.500 hectares ainsi qu'un périmètre de la commune de Téleghma pour les maraîchages et la culture de pommes de terre, sera lancé à partir du barrage de Béni Haroun. Dans le cadre du prochain programme quinquennal, un important projet d'irrigation de 8.500 hectares ainsi qu'un périmètre de la commune de Téleghma pour les maraîchages et la culture de pommes de terre, sera lancé à partir du barrage de Béni Haroun. Consacrée "capitale des ressources en eau" à la faveur de la réalisation de ce grand ouvrage hydraulique, le plus important d'Algérie, Mila dispose désormais d'excédents hydrauliques qui en feront d'elle une "wilaya verte", selon le wali de Mila. Toutefois, l'impact du barrage sur l'environnement et le développement de l'activité agricole "ne concernera pas uniquement la wilaya de Mila, mais également les régions limitrophes", puisque, selon les responsables locaux du secteur de l'hydraulique, des études sont "d'ores et déjà en cours" pour un "ambitieux" projet d'irrigation agricole, à partir du barrage de Béni Haroun, d'une superficie globale de 30.000 hectares, dans les wilayas de Mila, d'Oum El Bouaghi et de Batna. Ces opportunités permettront à ces régions d'exploiter au mieux leurs atouts agricoles et à la wilaya de Mila de consolider sa spécialisation dans les cultures "bio", et de réaliser dans ce domaine une avancée qualitative durant le prochain quinquennal pour la conduite duquel une "cagnotte" de 145 milliards de DA a été injectée, selon le wali. Dans ce contexte, il est également prévu un "développement important de la pêche continentale" qui se limite actuellement, dans la wilaya de Mila, à l'exploitation du barrage de Béni Haroun où exercent des micro-entreprises de pêche. Une expérience qui sera étendue prochainement aux autres zones humides de la wilaya, notamment le barrage de Grouz et l'ouvrage de retenue d'Oued Athmania, en plus des retenues collinaires réalisées dans cette commune et de certaines exploitations agricoles qui disposent de plans d'eau. Le wali de Mila a également indiqué que les efforts se concentrent actuellement sur la valorisation du pôle économique créé dans le sillage du barrage de Béni Haroun, révélant qu'il sera initié "prochainement" une école de sports nautiques dans la commune de Grarem et un lycée sportif spécialisé à Ferdjioua. Le barrage de Béni Haroun, qui peut mobiliser jusqu'à près d'un milliard de mètres cubes, alimente en eau potable, rappelle-t-on, les wilayas de Constantine et de Mila, en attendant la réalisation des transferts au bénéfice des wilayas de Khenchela, Oum El-Bouaghi et Batna. R. A. Consacrée "capitale des ressources en eau" à la faveur de la réalisation de ce grand ouvrage hydraulique, le plus important d'Algérie, Mila dispose désormais d'excédents hydrauliques qui en feront d'elle une "wilaya verte", selon le wali de Mila. Toutefois, l'impact du barrage sur l'environnement et le développement de l'activité agricole "ne concernera pas uniquement la wilaya de Mila, mais également les régions limitrophes", puisque, selon les responsables locaux du secteur de l'hydraulique, des études sont "d'ores et déjà en cours" pour un "ambitieux" projet d'irrigation agricole, à partir du barrage de Béni Haroun, d'une superficie globale de 30.000 hectares, dans les wilayas de Mila, d'Oum El Bouaghi et de Batna. Ces opportunités permettront à ces régions d'exploiter au mieux leurs atouts agricoles et à la wilaya de Mila de consolider sa spécialisation dans les cultures "bio", et de réaliser dans ce domaine une avancée qualitative durant le prochain quinquennal pour la conduite duquel une "cagnotte" de 145 milliards de DA a été injectée, selon le wali. Dans ce contexte, il est également prévu un "développement important de la pêche continentale" qui se limite actuellement, dans la wilaya de Mila, à l'exploitation du barrage de Béni Haroun où exercent des micro-entreprises de pêche. Une expérience qui sera étendue prochainement aux autres zones humides de la wilaya, notamment le barrage de Grouz et l'ouvrage de retenue d'Oued Athmania, en plus des retenues collinaires réalisées dans cette commune et de certaines exploitations agricoles qui disposent de plans d'eau. Le wali de Mila a également indiqué que les efforts se concentrent actuellement sur la valorisation du pôle économique créé dans le sillage du barrage de Béni Haroun, révélant qu'il sera initié "prochainement" une école de sports nautiques dans la commune de Grarem et un lycée sportif spécialisé à Ferdjioua. Le barrage de Béni Haroun, qui peut mobiliser jusqu'à près d'un milliard de mètres cubes, alimente en eau potable, rappelle-t-on, les wilayas de Constantine et de Mila, en attendant la réalisation des transferts au bénéfice des wilayas de Khenchela, Oum El-Bouaghi et Batna. R. A.