A l'appel du Syndicat d'entreprise des travailleurs de l'éducation (SETE), rattaché à l'Union générale des travailleurs algériens, une grève de deux jours sera observée dès aujourd'hui, dimanche. La décision d'opter pour un arrêt de travail a été prise par les représentants des travailleurs au cours d'une réunion du bureau exécutif le 10 janvier passé. La non concrétisation des promesses données par la Direction de l'éducation de la wilaya est la raison principale ayant poussé les syndicalistes à durcir leur position. Dans une déclaration rendue publique à la fin de l'assemblée générale, les concernés soulèvent le problème de la non régularisation de la situation financière et administrative des enseignants. Dans la déclaration, remise aux journalistes, il est indiqué que malgré "les assurances données par les pouvoirs publics tant au niveau local que national pour l'assainissement de la situation financière des travailleurs avant le 31 décembre 2009, rien n'a été fait. Les travailleurs de notre wilaya continuent à subir le mépris de ces mêmes pouvoirs publics". Les protestataires déplorent, en outre, des irrégularités dans le versement de leurs salaires qui persistent encore. A ce jour, les enseignants n'ont pas touché la prime de rendement du second semestre 2009. Ceci, alors que dans les autres wilayas du pays, ce genre de problèmes ne se pose pas, indiquent les concernés. Dans les autres wilayas, les primes de rendement sont versées régulièrement et à temps, ajoute-t-on. Ils qualifient l'attitude de la Direction de l'éducation de bureaucratie et ils disent ne plus pouvoir rester les bras croisés. Par ailleurs, le Syndicat d'entreprise des travailleurs de l'Education suggère la mise en place de crédits par le ministère dans les meilleurs délais en plus de l'installation de l'agence comptable (vérificateurs, contrôle financier, trésor de la Direction de l'éducation) qui leur avait été promise par le premier magistrat de la wilaya. L. B. A l'appel du Syndicat d'entreprise des travailleurs de l'éducation (SETE), rattaché à l'Union générale des travailleurs algériens, une grève de deux jours sera observée dès aujourd'hui, dimanche. La décision d'opter pour un arrêt de travail a été prise par les représentants des travailleurs au cours d'une réunion du bureau exécutif le 10 janvier passé. La non concrétisation des promesses données par la Direction de l'éducation de la wilaya est la raison principale ayant poussé les syndicalistes à durcir leur position. Dans une déclaration rendue publique à la fin de l'assemblée générale, les concernés soulèvent le problème de la non régularisation de la situation financière et administrative des enseignants. Dans la déclaration, remise aux journalistes, il est indiqué que malgré "les assurances données par les pouvoirs publics tant au niveau local que national pour l'assainissement de la situation financière des travailleurs avant le 31 décembre 2009, rien n'a été fait. Les travailleurs de notre wilaya continuent à subir le mépris de ces mêmes pouvoirs publics". Les protestataires déplorent, en outre, des irrégularités dans le versement de leurs salaires qui persistent encore. A ce jour, les enseignants n'ont pas touché la prime de rendement du second semestre 2009. Ceci, alors que dans les autres wilayas du pays, ce genre de problèmes ne se pose pas, indiquent les concernés. Dans les autres wilayas, les primes de rendement sont versées régulièrement et à temps, ajoute-t-on. Ils qualifient l'attitude de la Direction de l'éducation de bureaucratie et ils disent ne plus pouvoir rester les bras croisés. Par ailleurs, le Syndicat d'entreprise des travailleurs de l'Education suggère la mise en place de crédits par le ministère dans les meilleurs délais en plus de l'installation de l'agence comptable (vérificateurs, contrôle financier, trésor de la Direction de l'éducation) qui leur avait été promise par le premier magistrat de la wilaya. L. B.