Le chef du bureau politique du Hamas, M. Khaled Mechaal a réaffirmé hier à Damas le refus de libérer le soldat israélien Gilad Shalit avant la libération de centaines de prisonniers palestiniens détenus par Israël. Accusant Israël d'avoir entravé les tractations en vue de l'échange de prisonniers, il a affirmé lors d'une cérémonie marquant le premier anniversaire de l'agression israélienne contre la population Ghaza , que "Shalit ne rentrera pas chez lui avant la libération de nos prisonniers et prisonnières". Un projet d'accord prévoit la libération dans un premier temps de 450 prisonniers palestiniens en échange du soldat israélien avant la libération de 500 autres détenus. Environ 8.000 Palestiniens sont toujours détenus dans les geôles israéliennes. Le chef du Hamas a également appelé les pays arabes à briser le blocus imposé par Israël depuis juin 2007 et à élaborer une "stratégie arabe alliant la diplomatie et la résistance" pour libérer les territoires palestiniens. "Le pouvoir n'est pas notre objectif, le but consiste à libérer nos terres, à permettre le droit au retour (des réfugiés palestiniens) puis ensuite à bâtir un Etat et un gouvernement", a-t-il conclu. Le chef du bureau politique du Hamas, M. Khaled Mechaal a réaffirmé hier à Damas le refus de libérer le soldat israélien Gilad Shalit avant la libération de centaines de prisonniers palestiniens détenus par Israël. Accusant Israël d'avoir entravé les tractations en vue de l'échange de prisonniers, il a affirmé lors d'une cérémonie marquant le premier anniversaire de l'agression israélienne contre la population Ghaza , que "Shalit ne rentrera pas chez lui avant la libération de nos prisonniers et prisonnières". Un projet d'accord prévoit la libération dans un premier temps de 450 prisonniers palestiniens en échange du soldat israélien avant la libération de 500 autres détenus. Environ 8.000 Palestiniens sont toujours détenus dans les geôles israéliennes. Le chef du Hamas a également appelé les pays arabes à briser le blocus imposé par Israël depuis juin 2007 et à élaborer une "stratégie arabe alliant la diplomatie et la résistance" pour libérer les territoires palestiniens. "Le pouvoir n'est pas notre objectif, le but consiste à libérer nos terres, à permettre le droit au retour (des réfugiés palestiniens) puis ensuite à bâtir un Etat et un gouvernement", a-t-il conclu.