«Face aux problèmes rencontrés par les entreprises concernant l'accès au financement pour leur développement, le Fonds de soutien à l'investissement pour l'emploi (FSIE) a la prétention de pouvoir constituer une source plus accessible aux petites et moyennes entreprises. «Face aux problèmes rencontrés par les entreprises concernant l'accès au financement pour leur développement, le Fonds de soutien à l'investissement pour l'emploi (FSIE) a la prétention de pouvoir constituer une source plus accessible aux petites et moyennes entreprises. L'objectif consiste à obtenir des rendements raisonnables à tous ceux qui veulent effectuer des placements dans le FSIE» a déclaré, hier au forum d'El Moudjahid, Mohammed Tessa, directeur général du FSIE. Celui-ci ajoute que ce Fonds érigé en société par actions (SPA) fait partie d'une typologie d'une organisation de placements collectifs en valeurs mobilières. Il s'agit, donc, d'une organisation bancaire et financière chargée de gérer les fonds d'investissements des PME algériennes en participant activement à la création et à la sauvegarde des emplois tout en aidant les PME à accéder à des sources de financement. «Ce sont de futurs petits actionnaires qui sont sur leur lieu de travail sachant que les banques se détournent de catégories de la population et le FSIE a pour rôle de montrer comment lever l'impôt au niveau des résidants fiscaux en cherchant la manière et la méthode dont on peut rentabiliser cet argent» a-t-il ajouté. Etant créé en 2004, le FSIE entame une phase importante de formation des ressources humaines qui viennent de plus en plus en fonction des besoins du Fonds qui s'est inspiré dans les années 1990 par le truchement et l'intermédiation de l'ex-secrétaire général de l'UGTA, Abdelhak Benhamouda, des vertus de la Fédération des travailleurs du Québec (FTQ) forte de 7 millions d'habitants. C'est, donc, dans cette région à vocation syndicale que l'UGTA a pris acte des valeurs du syndicalisme dynamique orienté vers les intérêts des travailleurs. «Le taux de syndicalisation au Québec est l'un des plus forts du monde avec une stabilité sociale et une opulence économique de forte croissance mettant les travailleurs à l'abri des soubresauts secouant la planète» a souligné Tessa. Il précise que «les travailleurs syndiqués sont le moteur pour monter un fonds d'investissement public tandis que le patronat est prêt à nous aider afin de mobiliser les syndicats autour de la crise de l'emploi et de la résorption du chômage. L'approbation de ce projet permet au Fonds de chercher la plus petite épargne autour de l'organisation des travailleurs qui est une machine à collecter cette souscription et de l'actionnariat». L'UGTA rappelle que les promoteurs du FSIE soulignent que «le rôle primordial du Fonds consiste à recueillir l'épargne individuelle et volontaire par voie de souscription. Cette épargne est ensuite transformée en investissements dans les PME afin de créer des richesses et des emplois… Dans la mesure où le Fonds situe son action dans le créneau du capital risque, il offre aux PME une opportunité d'accéder plus aisément à une source de financement». A. A. L'objectif consiste à obtenir des rendements raisonnables à tous ceux qui veulent effectuer des placements dans le FSIE» a déclaré, hier au forum d'El Moudjahid, Mohammed Tessa, directeur général du FSIE. Celui-ci ajoute que ce Fonds érigé en société par actions (SPA) fait partie d'une typologie d'une organisation de placements collectifs en valeurs mobilières. Il s'agit, donc, d'une organisation bancaire et financière chargée de gérer les fonds d'investissements des PME algériennes en participant activement à la création et à la sauvegarde des emplois tout en aidant les PME à accéder à des sources de financement. «Ce sont de futurs petits actionnaires qui sont sur leur lieu de travail sachant que les banques se détournent de catégories de la population et le FSIE a pour rôle de montrer comment lever l'impôt au niveau des résidants fiscaux en cherchant la manière et la méthode dont on peut rentabiliser cet argent» a-t-il ajouté. Etant créé en 2004, le FSIE entame une phase importante de formation des ressources humaines qui viennent de plus en plus en fonction des besoins du Fonds qui s'est inspiré dans les années 1990 par le truchement et l'intermédiation de l'ex-secrétaire général de l'UGTA, Abdelhak Benhamouda, des vertus de la Fédération des travailleurs du Québec (FTQ) forte de 7 millions d'habitants. C'est, donc, dans cette région à vocation syndicale que l'UGTA a pris acte des valeurs du syndicalisme dynamique orienté vers les intérêts des travailleurs. «Le taux de syndicalisation au Québec est l'un des plus forts du monde avec une stabilité sociale et une opulence économique de forte croissance mettant les travailleurs à l'abri des soubresauts secouant la planète» a souligné Tessa. Il précise que «les travailleurs syndiqués sont le moteur pour monter un fonds d'investissement public tandis que le patronat est prêt à nous aider afin de mobiliser les syndicats autour de la crise de l'emploi et de la résorption du chômage. L'approbation de ce projet permet au Fonds de chercher la plus petite épargne autour de l'organisation des travailleurs qui est une machine à collecter cette souscription et de l'actionnariat». L'UGTA rappelle que les promoteurs du FSIE soulignent que «le rôle primordial du Fonds consiste à recueillir l'épargne individuelle et volontaire par voie de souscription. Cette épargne est ensuite transformée en investissements dans les PME afin de créer des richesses et des emplois… Dans la mesure où le Fonds situe son action dans le créneau du capital risque, il offre aux PME une opportunité d'accéder plus aisément à une source de financement». A. A.