Un journal électronique entièrement dédié au cinéma algérien vient d'être lancé par l'association «A nous les écrans». Le journal dénommé Les trois écrans est diffusé en arabe, en français et en anglais. Il est consultable sur le site de l'association à savoir : «www.anouslesecrans.com». Un journal électronique entièrement dédié au cinéma algérien vient d'être lancé par l'association «A nous les écrans». Le journal dénommé Les trois écrans est diffusé en arabe, en français et en anglais. Il est consultable sur le site de l'association à savoir : «www.anouslesecrans.com». «Il était donc indispensable que le cinéma algérien ait son journal électronique comme tous les pays qui aspirent à faire du 7e art leur porte-drapeau culturel», explique Salim Aggar, président de l'association «A nous les écrans». Le site espère capter l'attention des «amoureux du 7e art algérien», voire susciter leur participation active par des réflexions et contributions. Faisant son autocritique, Salim Aggar, estime qu'il faudrait faire davantage que de programmer les meilleurs films, documentaires et courts-métrages algériens, mission dont l'association qu'il dirige s'acquittait jusque-là. Agar poursuit à ce sujet «Avec le lancement de notre journal on a franchi un nouveau cap», celui «d'une médiatisation internationale avec une visibilité plus large pour notre association et son action de promotion du cinéma algérien». Le nom Les trois écrans a été donné en référence aux trois médias que sont le cinéma, la télévision et Internet, médias incontournables quant à la diffusion de l'information relative au 7e art. Le journal se veut aussi «un hommage à la revue "Les deux écrans", dirigée par Abdou B., et qui avait été la première revue de cinéma et de la télévision dans le Maghreb et même en Afrique». Dans la rubrique Actualités, on apprend que le réalisateur algérien Rachid Bouchareb n'a pas postulé aux Oscars 2010. Le réalisateur algérien, selon le rédacteur de l'article en tant que connaisseur des rouages des Oscars, préfère attendre la finalisation de son film Les Hors la loi, ce qui peut lui assurer une participation pour la troisième fois à l'Oscar du meilleur film étranger au nom de l'Algérie, après Poussière de vie et Indigènes. Bouchareb, qui a tourné une partie de son film Les hors la loi en Algérie a bénéficié d'un budget de 19,5 millions d'euros, dont 5 millions d'euros de l'Algérie, ce qui est colossal. Selon Les trois écrans, l'académie des Oscars (l'Ampas), l'organisme qui s'occupe de l'organisation) a rendu publique la liste des 65 pays qui ont déposé des films. Parmi ces pays, figure le film marocain Casanegra, (lauréat du meilleur réalisateur lors du dernier Festival du film arabe d'Oran). L.G. «Il était donc indispensable que le cinéma algérien ait son journal électronique comme tous les pays qui aspirent à faire du 7e art leur porte-drapeau culturel», explique Salim Aggar, président de l'association «A nous les écrans». Le site espère capter l'attention des «amoureux du 7e art algérien», voire susciter leur participation active par des réflexions et contributions. Faisant son autocritique, Salim Aggar, estime qu'il faudrait faire davantage que de programmer les meilleurs films, documentaires et courts-métrages algériens, mission dont l'association qu'il dirige s'acquittait jusque-là. Agar poursuit à ce sujet «Avec le lancement de notre journal on a franchi un nouveau cap», celui «d'une médiatisation internationale avec une visibilité plus large pour notre association et son action de promotion du cinéma algérien». Le nom Les trois écrans a été donné en référence aux trois médias que sont le cinéma, la télévision et Internet, médias incontournables quant à la diffusion de l'information relative au 7e art. Le journal se veut aussi «un hommage à la revue "Les deux écrans", dirigée par Abdou B., et qui avait été la première revue de cinéma et de la télévision dans le Maghreb et même en Afrique». Dans la rubrique Actualités, on apprend que le réalisateur algérien Rachid Bouchareb n'a pas postulé aux Oscars 2010. Le réalisateur algérien, selon le rédacteur de l'article en tant que connaisseur des rouages des Oscars, préfère attendre la finalisation de son film Les Hors la loi, ce qui peut lui assurer une participation pour la troisième fois à l'Oscar du meilleur film étranger au nom de l'Algérie, après Poussière de vie et Indigènes. Bouchareb, qui a tourné une partie de son film Les hors la loi en Algérie a bénéficié d'un budget de 19,5 millions d'euros, dont 5 millions d'euros de l'Algérie, ce qui est colossal. Selon Les trois écrans, l'académie des Oscars (l'Ampas), l'organisme qui s'occupe de l'organisation) a rendu publique la liste des 65 pays qui ont déposé des films. Parmi ces pays, figure le film marocain Casanegra, (lauréat du meilleur réalisateur lors du dernier Festival du film arabe d'Oran). L.G.