Même si la ville de Sétif est importante pour l'affichage publicitaire, compte tenu de son caractère de commune populaire à grande densité, appelée à donner l'exemple pour la généralisation de l'opération aux autres communes de la wilaya, la gestion de ce créneau reste aléatoire. Même si la ville de Sétif est importante pour l'affichage publicitaire, compte tenu de son caractère de commune populaire à grande densité, appelée à donner l'exemple pour la généralisation de l'opération aux autres communes de la wilaya, la gestion de ce créneau reste aléatoire. Alors que l'affichage publicitaire a généré 3,46 milliards de dinars durant l'année 2009 dans la wilaya d'Alger, une vraie « aubaine » pour les APC, on apprend que la commune de Sétif n'a réalisé que 2,5 milliards de centimes. Alors qu'à l'échelle de la wilaya, le reste des communes a réalisé des chiffres dérisoires, voire insignifiants malgré la multiplication de l'action publicitaire remarquée durant l'exercice de l'année précédente. Au cours des années antérieures, les recettes en matière de redevances à la trésorerie communale de Sétif étaient de l'ordre de 175 millions de centimes seulement. Aussi faut-il préciser que les bénéfices engrangés des revenus publicitaires versés par les opérateurs sont susceptibles d'assurer une autonomie financière aux assemblées élues et leur permettre de lancer de grands projets d'utilité publique. Si la valeur de l'investissement en mobilier urbain, tels les Abribus, qui deviendra une propriété de la commune à la fin de la durée de l'adjudication limitée à trois années n'est guère déterminée par l'APC de Sétif, l'on ne saura pas plus sur les encaissements de la publicité mobile et l'affichage sur les véhicules. Il apparaît clairement dans ce domaine que les opérations publicitaires enregistrées pour le compte de l'entreprise publique de transport urbain (ETUS) ne sont guère signalées au bénéfice de l'APC, une autre carence. Alors que dans d'autres APC du pays, de plus en plus de P/APC expriment leur intérêt à l'affichage publicitaire sur le mobilier urbain et demandent son installation dans leur commune, eu égard à la réussite de cette expérience, à Sétif on apprend par la bouche du directeur du patrimoine de l'APC que la carte publicitaire inhérente à l'installation de nouveaux mobiliers et panneaux afin de suivre l'évolution de l'étalement urbain constaté ces dernières années, n'est pas encore prête. Du reste, les quelques panneaux en centre ville sont exploités, et leur nombre ne se mesure guère à l'importance de la commune de Sétif. Le coût d'un panneau moyen est fixé à près de 150 mille DA alors que le mégapilone est à 100 millions de centimes, représenté les rentrées en matière de location d'espace et de taxe publicitaire. Même si la ville de Sétif est importante pour l'affichage publicitaire, compte tenu de son caractère de commune populaire à grande densité, appelée à donner l'exemple pour la généralisation de l'opération aux autres communes de la wilaya, la gestion de ce créneau reste aléatoire malgré la multiplication des opérateurs économiques dans la région, alors qu'on apprend qu'au niveau des APC de la capitale, les autorités locales ont déjà entamé la procédure administrative et exprimé leurs besoins pour l'exploitation des espaces publicitaires, kiosques, Abribus et panneaux. Interrogé sur l'exploitation de l'écran électronique vidéo surplombant la Grande poste, le directeur du patrimoine de la commune révèle que sa location à une boite de communication rapporte aux caisses de la trésorerie communale la modique somme de 15 millions de centimes par an. A. B. Alors que l'affichage publicitaire a généré 3,46 milliards de dinars durant l'année 2009 dans la wilaya d'Alger, une vraie « aubaine » pour les APC, on apprend que la commune de Sétif n'a réalisé que 2,5 milliards de centimes. Alors qu'à l'échelle de la wilaya, le reste des communes a réalisé des chiffres dérisoires, voire insignifiants malgré la multiplication de l'action publicitaire remarquée durant l'exercice de l'année précédente. Au cours des années antérieures, les recettes en matière de redevances à la trésorerie communale de Sétif étaient de l'ordre de 175 millions de centimes seulement. Aussi faut-il préciser que les bénéfices engrangés des revenus publicitaires versés par les opérateurs sont susceptibles d'assurer une autonomie financière aux assemblées élues et leur permettre de lancer de grands projets d'utilité publique. Si la valeur de l'investissement en mobilier urbain, tels les Abribus, qui deviendra une propriété de la commune à la fin de la durée de l'adjudication limitée à trois années n'est guère déterminée par l'APC de Sétif, l'on ne saura pas plus sur les encaissements de la publicité mobile et l'affichage sur les véhicules. Il apparaît clairement dans ce domaine que les opérations publicitaires enregistrées pour le compte de l'entreprise publique de transport urbain (ETUS) ne sont guère signalées au bénéfice de l'APC, une autre carence. Alors que dans d'autres APC du pays, de plus en plus de P/APC expriment leur intérêt à l'affichage publicitaire sur le mobilier urbain et demandent son installation dans leur commune, eu égard à la réussite de cette expérience, à Sétif on apprend par la bouche du directeur du patrimoine de l'APC que la carte publicitaire inhérente à l'installation de nouveaux mobiliers et panneaux afin de suivre l'évolution de l'étalement urbain constaté ces dernières années, n'est pas encore prête. Du reste, les quelques panneaux en centre ville sont exploités, et leur nombre ne se mesure guère à l'importance de la commune de Sétif. Le coût d'un panneau moyen est fixé à près de 150 mille DA alors que le mégapilone est à 100 millions de centimes, représenté les rentrées en matière de location d'espace et de taxe publicitaire. Même si la ville de Sétif est importante pour l'affichage publicitaire, compte tenu de son caractère de commune populaire à grande densité, appelée à donner l'exemple pour la généralisation de l'opération aux autres communes de la wilaya, la gestion de ce créneau reste aléatoire malgré la multiplication des opérateurs économiques dans la région, alors qu'on apprend qu'au niveau des APC de la capitale, les autorités locales ont déjà entamé la procédure administrative et exprimé leurs besoins pour l'exploitation des espaces publicitaires, kiosques, Abribus et panneaux. Interrogé sur l'exploitation de l'écran électronique vidéo surplombant la Grande poste, le directeur du patrimoine de la commune révèle que sa location à une boite de communication rapporte aux caisses de la trésorerie communale la modique somme de 15 millions de centimes par an. A. B.