Le nouveau code de la route, en vigueur depuis le 1er du mois en cours, durcit les mesures coercitives contre les usagers de la route. Le nouveau code de la route, en vigueur depuis le 1er du mois en cours, durcit les mesures coercitives contre les usagers de la route. Les sanctions, en fait, sont élargies aux piétons qui seront soumis à des amendes de 2.500 DA, en cas de non-respect de la signalisation qu‘elle soit horizontale ou verticale. Ces derniers sont désormais passibles d‘une contravention s‘ils empruntent la voie réservée aux automobilistes ou piétinent les règles relatives à la circulation des piétons. C‘est que le nouveau code de la route se montre ferme et intransigeant envers toute violation des traçages de la voie, se dotant ainsi d‘une dimension pédagogique qui a pour finalité première, bannir les comportements anarchiques des citoyens qui sont souvent à l‘origine de l‘insécurité routière. Il s‘agit, donc, de développer chez le piéton le sens du civisme pour freiner le fléau des accidents de la route qui font chaque année près de 4 mille décès en Algérie, figurant parmi les pays les plus touchés par ce fléau. Aujourd‘hui, l‘imposition d‘une amende pour les piétons est à même de bousculer les attitudes et incite surtout à se conformer à la loi qui reste le moyen le mieux indiqué pour faire face à l‘hécatombe. Il faut dire aussi que l‘application de la nouvelle réglementation renvoie aussi à l‘occupation des trottoirs par des commerçants ou carrément des automobilistes, en quête d‘aires de stationnement. Les sanctions, en fait, sont élargies aux piétons qui seront soumis à des amendes de 2.500 DA, en cas de non-respect de la signalisation qu‘elle soit horizontale ou verticale. Ces derniers sont désormais passibles d‘une contravention s‘ils empruntent la voie réservée aux automobilistes ou piétinent les règles relatives à la circulation des piétons. C‘est que le nouveau code de la route se montre ferme et intransigeant envers toute violation des traçages de la voie, se dotant ainsi d‘une dimension pédagogique qui a pour finalité première, bannir les comportements anarchiques des citoyens qui sont souvent à l‘origine de l‘insécurité routière. Il s‘agit, donc, de développer chez le piéton le sens du civisme pour freiner le fléau des accidents de la route qui font chaque année près de 4 mille décès en Algérie, figurant parmi les pays les plus touchés par ce fléau. Aujourd‘hui, l‘imposition d‘une amende pour les piétons est à même de bousculer les attitudes et incite surtout à se conformer à la loi qui reste le moyen le mieux indiqué pour faire face à l‘hécatombe. Il faut dire aussi que l‘application de la nouvelle réglementation renvoie aussi à l‘occupation des trottoirs par des commerçants ou carrément des automobilistes, en quête d‘aires de stationnement.