Construit au cœur de la cité des "300-Logements", le premier centre à l'échelle nationale spécialisé dans la prise en charge des enfants atteints d'infirmité motrice d'origine cérébrale (IMC) est totalement équipé et «n'attend plus que l'autorisation d'ouverture et la fin de la formation de son staff pédagogique pour passer au stade d'exploitation». Construit au cœur de la cité des "300-Logements", le premier centre à l'échelle nationale spécialisé dans la prise en charge des enfants atteints d'infirmité motrice d'origine cérébrale (IMC) est totalement équipé et «n'attend plus que l'autorisation d'ouverture et la fin de la formation de son staff pédagogique pour passer au stade d'exploitation». La Direction de l'Action sociale (DAS) a annoncé la réalisation du premier centre à l'échelle nationale spécialisé dans la prise en charge des enfants atteints d'infirmité motrice d'origine cérébrale (IMC) vient d'être réalisé à Batna. Construit au coeur de la cité des "300 logements", cette infrastructure est totalement équipée et "n'attend plus que l'autorisation d'ouverture et la fin de la formation de son staff pédagogique pour passer au stade d'exploitation", a précisé le DAS par intérim. D'une capacité théorique de 60 places, ce centre pourra accueillir "le double" des effectifs en recourant au système de la double vacation, ce qui permettra de prendre en charge le plus grand nombre possible d'enfants IMC, a-t-il ajouté. "Véritable acquis pour cette catégorie d'enfants polyhandicapés", ce centre est un "établissement pilote", a affirmé de son côté la secrétaire générale de l'Association locale des parents d'enfants IMC. Toutefois, a-t-elle ajouté, le fait de voir ce centre "fermé depuis deux ans a quelque peu tempéré la joie des parents" ressentie devant la "reconnaissance légitime du droit à la prise en charge pour ces petits enfants dont l'infirmité motrice empêche l'accomplissement de gestes aussi anodins que de mâcher un morceau de pain". Il n'en demeure pas moins, selon la secrétaire générale, que ce projet est la "concrétisation d'un rêve nourri par tous les membres de l'Association des parents d'enfants IMC depuis sa création en 1998". Cette Association de parents d'enfants infirmes moteurs d'origine cérébrale, qui représente l'une des quatre activant à l'échelle du pays, a ouvert en 2000, en son siège situé près de la cité des "742 logements" de Batna, un petit établissement appelé "L'école des Cigognes" assurant, dans des locaux trop exigus, les fonctions de centre pour IMC. L'école accueille une cinquantaine d'handicapés dont l'âge oscille entre six mois et 26 ans. Son encadrement est assuré par des orthophonistes, des psychologues et des éducateurs, pour la plupart bénévoles, a affirmé la responsable de l'association, soulignant que 200 autres enfants IMC figurent sur une "liste d'attente", d'où, a-t-elle ajouté, "tous les espoirs des parents de jeunes infirmes, mais aussi leur impatience de voir le centre national de Batna ouvrir ses portes". L. N. La Direction de l'Action sociale (DAS) a annoncé la réalisation du premier centre à l'échelle nationale spécialisé dans la prise en charge des enfants atteints d'infirmité motrice d'origine cérébrale (IMC) vient d'être réalisé à Batna. Construit au coeur de la cité des "300 logements", cette infrastructure est totalement équipée et "n'attend plus que l'autorisation d'ouverture et la fin de la formation de son staff pédagogique pour passer au stade d'exploitation", a précisé le DAS par intérim. D'une capacité théorique de 60 places, ce centre pourra accueillir "le double" des effectifs en recourant au système de la double vacation, ce qui permettra de prendre en charge le plus grand nombre possible d'enfants IMC, a-t-il ajouté. "Véritable acquis pour cette catégorie d'enfants polyhandicapés", ce centre est un "établissement pilote", a affirmé de son côté la secrétaire générale de l'Association locale des parents d'enfants IMC. Toutefois, a-t-elle ajouté, le fait de voir ce centre "fermé depuis deux ans a quelque peu tempéré la joie des parents" ressentie devant la "reconnaissance légitime du droit à la prise en charge pour ces petits enfants dont l'infirmité motrice empêche l'accomplissement de gestes aussi anodins que de mâcher un morceau de pain". Il n'en demeure pas moins, selon la secrétaire générale, que ce projet est la "concrétisation d'un rêve nourri par tous les membres de l'Association des parents d'enfants IMC depuis sa création en 1998". Cette Association de parents d'enfants infirmes moteurs d'origine cérébrale, qui représente l'une des quatre activant à l'échelle du pays, a ouvert en 2000, en son siège situé près de la cité des "742 logements" de Batna, un petit établissement appelé "L'école des Cigognes" assurant, dans des locaux trop exigus, les fonctions de centre pour IMC. L'école accueille une cinquantaine d'handicapés dont l'âge oscille entre six mois et 26 ans. Son encadrement est assuré par des orthophonistes, des psychologues et des éducateurs, pour la plupart bénévoles, a affirmé la responsable de l'association, soulignant que 200 autres enfants IMC figurent sur une "liste d'attente", d'où, a-t-elle ajouté, "tous les espoirs des parents de jeunes infirmes, mais aussi leur impatience de voir le centre national de Batna ouvrir ses portes". L. N.