Une conférence de presse a été animée hier, conjointement, par le directeur de l'orchestre philarmonique national, Abdelkader Bouazzara et son homologue mexicain, Alejandro Sanchez-Navarro à l'Institut national supérieur de musique (INSM), cela en prévision du concert de musique classique prévu pour le dimanche 28 février, au Théâtre national algérien (TNA). Le programme alléchant de cette soirée a été présenté à l'occasion pour mettre ainsi le public en appétit ! Une conférence de presse a été animée hier, conjointement, par le directeur de l'orchestre philarmonique national, Abdelkader Bouazzara et son homologue mexicain, Alejandro Sanchez-Navarro à l'Institut national supérieur de musique (INSM), cela en prévision du concert de musique classique prévu pour le dimanche 28 février, au Théâtre national algérien (TNA). Le programme alléchant de cette soirée a été présenté à l'occasion pour mettre ainsi le public en appétit ! «Nous nous retrouvons encore une fois pour présenter le prochain concert symphonique. Cette prochaine soirée sera exceptionnelle car premièrement elle sera dirigée par le maestro mexicain Alejandro Sanchez-Navarro et deuxièmement parce que ce sera un concert symphonique visuel», a annoncé Abdelkader Bouazzara avant d'ajouter : «C'est la première fois que se tient un pareil concert en Algérie, mais également sur tout le continent africain. Ce privilège est important d'autant que ce concert s'inscrit dans la commémoration du centenaire de la révolution et du bicentenaire de l'indépendance du Mexique». Dans le même sillage le maestro algérien précise «c'est un honneur pour l'Algérie d'être le premier pays à donné le «la» aux différentes commémorations prévues dans les divers pays et cela démontre le lien fraternel unissant nos deux pays, d'autant plus que le Mexique a été le premier pays a reconnaître l'indépendance de notre pays». L'invité d'honneur de cette rencontre, Alejandro Sanchez-Navarro s'est dit «heureux d'être en Algérie. Nous allons présenter avec l'Orchestre symphonique national algérien différentes partitions puisées du répertoire classique, comme «Egmont L.V. Beethoven», avec lequel nous débuterons notre soirée, ou encore des musiques puisées du patrimoine algérien telle «Ch'hilet Laayali», qui est une pièce algérienne arrangée par Rachid Saouli. Quant à moi, je vous propose mes propres compositions qui parlent de la nature avec des projections d'images sous-marines, à l'instar de la partition «Symphonie de la mer», et d'autre morceaux inspirés de la nature «Danse éclair», «Forêt de Gaya», ou encore «Changement». Moi, je travaille beaucoup plus sur le patrimoine naturel du Mexique car les images de la nature sont les plus complexes de l'univers. D'autant que la situation de l'écologie est catastrophique, surtout qu'il y a quelques mois les chefs d'Etat se sont réunis à Copenhague pour sauver la planète, mais sans trouver aucune solution à proposer. Moi je trouve que ce n'est pas la planète qu'il faut sauver, mais bien l'homme». Il est à préciser que Alejandro Sanchez-Navarro est le premier maestro latino-américain à venir en Algérie, il ouvre ainsi la voie à une collaboration entre l'Algérie et les pays latino-américains. Alejandro Sanchez-Navarro, est un compositeur qui dirige ses propres œuvres, elles sont imprégnées d'un style propre à lui. A travers une série d'images défilant sur un écran géant au fond de la salle, il nous narre sur fond de notes musicales, l'histoire de l'univers. Une histoire en images et en musique pour un voyage visuel inénarrable. K. H. «Nous nous retrouvons encore une fois pour présenter le prochain concert symphonique. Cette prochaine soirée sera exceptionnelle car premièrement elle sera dirigée par le maestro mexicain Alejandro Sanchez-Navarro et deuxièmement parce que ce sera un concert symphonique visuel», a annoncé Abdelkader Bouazzara avant d'ajouter : «C'est la première fois que se tient un pareil concert en Algérie, mais également sur tout le continent africain. Ce privilège est important d'autant que ce concert s'inscrit dans la commémoration du centenaire de la révolution et du bicentenaire de l'indépendance du Mexique». Dans le même sillage le maestro algérien précise «c'est un honneur pour l'Algérie d'être le premier pays à donné le «la» aux différentes commémorations prévues dans les divers pays et cela démontre le lien fraternel unissant nos deux pays, d'autant plus que le Mexique a été le premier pays a reconnaître l'indépendance de notre pays». L'invité d'honneur de cette rencontre, Alejandro Sanchez-Navarro s'est dit «heureux d'être en Algérie. Nous allons présenter avec l'Orchestre symphonique national algérien différentes partitions puisées du répertoire classique, comme «Egmont L.V. Beethoven», avec lequel nous débuterons notre soirée, ou encore des musiques puisées du patrimoine algérien telle «Ch'hilet Laayali», qui est une pièce algérienne arrangée par Rachid Saouli. Quant à moi, je vous propose mes propres compositions qui parlent de la nature avec des projections d'images sous-marines, à l'instar de la partition «Symphonie de la mer», et d'autre morceaux inspirés de la nature «Danse éclair», «Forêt de Gaya», ou encore «Changement». Moi, je travaille beaucoup plus sur le patrimoine naturel du Mexique car les images de la nature sont les plus complexes de l'univers. D'autant que la situation de l'écologie est catastrophique, surtout qu'il y a quelques mois les chefs d'Etat se sont réunis à Copenhague pour sauver la planète, mais sans trouver aucune solution à proposer. Moi je trouve que ce n'est pas la planète qu'il faut sauver, mais bien l'homme». Il est à préciser que Alejandro Sanchez-Navarro est le premier maestro latino-américain à venir en Algérie, il ouvre ainsi la voie à une collaboration entre l'Algérie et les pays latino-américains. Alejandro Sanchez-Navarro, est un compositeur qui dirige ses propres œuvres, elles sont imprégnées d'un style propre à lui. A travers une série d'images défilant sur un écran géant au fond de la salle, il nous narre sur fond de notes musicales, l'histoire de l'univers. Une histoire en images et en musique pour un voyage visuel inénarrable. K. H.