Cette entreprise, spécialisée dans la production, le conditionnement et la commercialisation de médicaments, notamment, les génériques, s'apprête à créer une filiale en France afin de se lancer dans la fabrication de génériques destinés aux marchés algérien et français. Cette entreprise, spécialisée dans la production, le conditionnement et la commercialisation de médicaments, notamment, les génériques, s'apprête à créer une filiale en France afin de se lancer dans la fabrication de génériques destinés aux marchés algérien et français. Les Laboratoires algériens Khaled Salem dont l'usine de fabrication est située dans la zone industrielle d'El Eulma, dans la wilaya de Sétif, envisagent de s'implanter en France, plus précisément dans la région de la Corrèze. Cette entreprise spécialisée dans la production, le conditionnement et la commercialisation de médicaments, notamment, les génériques, s'apprête à créer une filiale en France afin de se lancer dans la fabrication de génériques destinés pour les marchés algérien et français. Les observateurs français estiment que les laboratoires Salem y trouveront un environnement viable pour développer leurs compétences en matière de perfectionnement des ressources humaines et technologiques sachant que ce projet comporte une intéressante partie règlementation et distribution des dossiers. Selon notre source, ce projet corrézien de Bristol Myers Squibb «est un site adéquat pour les laboratoires du Dr Salem qui a acquis ce terrain industriel pour un euro symbolique. Ainsi, les ingénieurs et techniciens de ce laboratoire vont pouvoir faire valoir leur savoir-faire et leurs connaissances technologiques et scientifiques en développant une activité industrielle à grande échelle axée essentiellement sur le façonnage et la production de leurs propres molécules». Selon Khaled Salem, l'épanouissement de son entreprise vise surtout la conquête de nouveaux marchés de produits pharmaceutiques, notamment, ceux de l'Afrique et du Moyen-Orient. Mais, l'important consiste également à peaufiner les capacités de recherche et de développement des laboratoires Salem tout en s'orientant vers la fonction décisive d'exportation en dans des pays européens et africains. La formule d'acquisition du site de la Corrèze stipule que la convention accorde une reprise simple d'actifs alors qu'aucune dette de l'entreprise cédante n'st endossable à l'acquéreur (Laboratoires Khaled Salem). Il n'y a donc aucun transfert d'obligations (ou une quelconque exigence financière en contrepartie) entre les deux parties. Le groupe BMS qui a cédé le site de Meymac ne laisse aucune charge d'activité sachant que ses produits sont transposés sur son site principal localisé à Agen. Pour le moment, les laboratoires Khaled Salem comptent investir à court terme dans la formation des employés et la mise à niveau des installations techniques et les différents équipements sur ce site dont les capacités de production sont de l'ordre de 25 millions d'unités par an. Ces laboratoires, qui ont 42 produits disponibles en Algérie, commercialisant également quatre autres en Mauritanie et employant plus de 180 travailleurs pour un chiffre d'affaires de 800 millions DA (plus de 8 millions d'euros), ont entrepris un deuxième site de production à Sétif d'une capacité avoisinant 55 unités annuellement. Les activités de ces laboratoires pourraient démarrer réellement dès septembre prochain dans le cas où ce projet d'implantation voit le jour rapidement. A. A. Les Laboratoires algériens Khaled Salem dont l'usine de fabrication est située dans la zone industrielle d'El Eulma, dans la wilaya de Sétif, envisagent de s'implanter en France, plus précisément dans la région de la Corrèze. Cette entreprise spécialisée dans la production, le conditionnement et la commercialisation de médicaments, notamment, les génériques, s'apprête à créer une filiale en France afin de se lancer dans la fabrication de génériques destinés pour les marchés algérien et français. Les observateurs français estiment que les laboratoires Salem y trouveront un environnement viable pour développer leurs compétences en matière de perfectionnement des ressources humaines et technologiques sachant que ce projet comporte une intéressante partie règlementation et distribution des dossiers. Selon notre source, ce projet corrézien de Bristol Myers Squibb «est un site adéquat pour les laboratoires du Dr Salem qui a acquis ce terrain industriel pour un euro symbolique. Ainsi, les ingénieurs et techniciens de ce laboratoire vont pouvoir faire valoir leur savoir-faire et leurs connaissances technologiques et scientifiques en développant une activité industrielle à grande échelle axée essentiellement sur le façonnage et la production de leurs propres molécules». Selon Khaled Salem, l'épanouissement de son entreprise vise surtout la conquête de nouveaux marchés de produits pharmaceutiques, notamment, ceux de l'Afrique et du Moyen-Orient. Mais, l'important consiste également à peaufiner les capacités de recherche et de développement des laboratoires Salem tout en s'orientant vers la fonction décisive d'exportation en dans des pays européens et africains. La formule d'acquisition du site de la Corrèze stipule que la convention accorde une reprise simple d'actifs alors qu'aucune dette de l'entreprise cédante n'st endossable à l'acquéreur (Laboratoires Khaled Salem). Il n'y a donc aucun transfert d'obligations (ou une quelconque exigence financière en contrepartie) entre les deux parties. Le groupe BMS qui a cédé le site de Meymac ne laisse aucune charge d'activité sachant que ses produits sont transposés sur son site principal localisé à Agen. Pour le moment, les laboratoires Khaled Salem comptent investir à court terme dans la formation des employés et la mise à niveau des installations techniques et les différents équipements sur ce site dont les capacités de production sont de l'ordre de 25 millions d'unités par an. Ces laboratoires, qui ont 42 produits disponibles en Algérie, commercialisant également quatre autres en Mauritanie et employant plus de 180 travailleurs pour un chiffre d'affaires de 800 millions DA (plus de 8 millions d'euros), ont entrepris un deuxième site de production à Sétif d'une capacité avoisinant 55 unités annuellement. Les activités de ces laboratoires pourraient démarrer réellement dès septembre prochain dans le cas où ce projet d'implantation voit le jour rapidement. A. A.