C'est à l'hôtel Aurassi que le collectif du Midi Libre a célébré le troisième anniversaire de son quotidien. A cette occasion, une belle réception a été donnée pour couronner les efforts de tout un chacun d'une part, et faire la remise des prix de la tombola et du concours de la meilleure photo lancés par le journal d'autre part. Réda Mehigueni, gérant du Midi Libre, a remercié l'honorable assistance dans laquelle on a pu voir le Directeur général de Nedjma, le DG de la SAFEX, celui du CNTTP, le DG d'Algérie Telecom, Yahia Guidoum ex- ministre de la Santé puis de la Jeunesse et des Sports, M. Saïd Mokadem SG de l'UMA, des députés, Ali Rezgui, chef de cabinet du ministère de la Jeunesse et des Sports, le DG de la télévision amazighe, le wali délégué de Bouzaréah, des présidents d'APC, le SG des Scouts musulmans algériens M. Benbraham, M. Lamari Mahrez, président du Conseil national de solidarité avec le peuple sahraoui, le chargé d'affaires de l'ambassade de la RASD, Brahim Bouleguene de l'UNEA, des directeurs d'agences de communication, Noureddine Boufenara au titre d'Algérie Poste, les sponsors de la tombola du Midi Libre, ainsi que l'ancien directeur du journal, Abdelkrim Tazarout. Réda Mehigueni prendra la parole et lâchera non sans une pointe de satisfaction : « Trois ans ont passé très vite ». Le bébé qu'il a engendré grandit bien. Il en est fier, malgré les embûches, les difficultés qu'il a rencontrées. Oui, il en est fier et c'est pourquoi il a tenu à remercier les éditeurs qui l'ont encouragé comme MM. Outoudert Ali Ouafek, Fouad Boughanem, madame Hadda Hazem, Ahmed Fattani, Ali Djerri, Abdelwahab Djakoun entre autres, lui qui avait beaucoup d'appréhensions parce que n'étant pas de la profession. Il dira un grand merci aux annonceurs qui lui ont fait confiance et qui ont cru en lui. Il dédiera la soirée à Aminatou Haider, militante sahraouie pour la cause des droits de l'Homme. Il réitère l'engagement du journal à la cause sahraouie. Une pause est proposée par un magicien sans frontière, mais Canadien tout de même, qui a tenu en haleine une assistance médusée par ses tours de prestidigitation. Ensuite, un petit documentaire sera projeté pour raconter les 3 ans du Midi Libre à travers ses Une. On s'attardera sur certaines Une du journal dont le caractère événementiel était important. On fera l'éloge des journalistes qui, chaque jour, cherchent et triturent l'information car la devise du quotidien est : « L'info rien que l'info ». Après cet intermède, ce sera la remise des prix de la tombola et du concours de la meilleure photo. Il y eut aussi un prix spécial qui récompense un ou une journaliste pour leurs efforts ou le travail accompli. Ce sera notre consœur Ourida Ait Ali qui aura l'insigne honneur d'être primée cette année et d'inaugurer une nouvelle tradition au journal. Très émue, elle remerciera la directrice de publication ainsi que la rédactrice en chef qui a toujours fait montre de disponibilité à son endroit, ainsi que ses collègues. Puis ce sera au tour de Toufik Aoun, venu avec ses musiciens chanter et que l'on remercie pour l'ambiance d'enfer qu'il a créée, véritable détonateur pour le collectif du Midi Libre qui s'en est donné à cœur joie. Abdelkrim Tazarout, chanteur à ses heures perdues, nous a gratifiés de «Hakmet» du défunt El Hachemi Guerouabi qui fut son ami depuis plus de trente ans. Le rythme a pris le dessus et la danse aussi. Ce fut une belle fête. A l'année prochaine pour les quatre bougies en attendant, pourquoi pas, le centenaire du journal. S. H. C'est à l'hôtel Aurassi que le collectif du Midi Libre a célébré le troisième anniversaire de son quotidien. A cette occasion, une belle réception a été donnée pour couronner les efforts de tout un chacun d'une part, et faire la remise des prix de la tombola et du concours de la meilleure photo lancés par le journal d'autre part. Réda Mehigueni, gérant du Midi Libre, a remercié l'honorable assistance dans laquelle on a pu voir le Directeur général de Nedjma, le DG de la SAFEX, celui du CNTTP, le DG d'Algérie Telecom, Yahia Guidoum ex- ministre de la Santé puis de la Jeunesse et des Sports, M. Saïd Mokadem SG de l'UMA, des députés, Ali Rezgui, chef de cabinet du ministère de la Jeunesse et des Sports, le DG de la télévision amazighe, le wali délégué de Bouzaréah, des présidents d'APC, le SG des Scouts musulmans algériens M. Benbraham, M. Lamari Mahrez, président du Conseil national de solidarité avec le peuple sahraoui, le chargé d'affaires de l'ambassade de la RASD, Brahim Bouleguene de l'UNEA, des directeurs d'agences de communication, Noureddine Boufenara au titre d'Algérie Poste, les sponsors de la tombola du Midi Libre, ainsi que l'ancien directeur du journal, Abdelkrim Tazarout. Réda Mehigueni prendra la parole et lâchera non sans une pointe de satisfaction : « Trois ans ont passé très vite ». Le bébé qu'il a engendré grandit bien. Il en est fier, malgré les embûches, les difficultés qu'il a rencontrées. Oui, il en est fier et c'est pourquoi il a tenu à remercier les éditeurs qui l'ont encouragé comme MM. Outoudert Ali Ouafek, Fouad Boughanem, madame Hadda Hazem, Ahmed Fattani, Ali Djerri, Abdelwahab Djakoun entre autres, lui qui avait beaucoup d'appréhensions parce que n'étant pas de la profession. Il dira un grand merci aux annonceurs qui lui ont fait confiance et qui ont cru en lui. Il dédiera la soirée à Aminatou Haider, militante sahraouie pour la cause des droits de l'Homme. Il réitère l'engagement du journal à la cause sahraouie. Une pause est proposée par un magicien sans frontière, mais Canadien tout de même, qui a tenu en haleine une assistance médusée par ses tours de prestidigitation. Ensuite, un petit documentaire sera projeté pour raconter les 3 ans du Midi Libre à travers ses Une. On s'attardera sur certaines Une du journal dont le caractère événementiel était important. On fera l'éloge des journalistes qui, chaque jour, cherchent et triturent l'information car la devise du quotidien est : « L'info rien que l'info ». Après cet intermède, ce sera la remise des prix de la tombola et du concours de la meilleure photo. Il y eut aussi un prix spécial qui récompense un ou une journaliste pour leurs efforts ou le travail accompli. Ce sera notre consœur Ourida Ait Ali qui aura l'insigne honneur d'être primée cette année et d'inaugurer une nouvelle tradition au journal. Très émue, elle remerciera la directrice de publication ainsi que la rédactrice en chef qui a toujours fait montre de disponibilité à son endroit, ainsi que ses collègues. Puis ce sera au tour de Toufik Aoun, venu avec ses musiciens chanter et que l'on remercie pour l'ambiance d'enfer qu'il a créée, véritable détonateur pour le collectif du Midi Libre qui s'en est donné à cœur joie. Abdelkrim Tazarout, chanteur à ses heures perdues, nous a gratifiés de «Hakmet» du défunt El Hachemi Guerouabi qui fut son ami depuis plus de trente ans. Le rythme a pris le dessus et la danse aussi. Ce fut une belle fête. A l'année prochaine pour les quatre bougies en attendant, pourquoi pas, le centenaire du journal. S. H.