Des acteurs algériens du secteur de l'environnement ont rencontré, hier à Alger, des entreprises françaises intervenant dans le domaine de la gestion des déchets urbains et spéciaux. Organisée à l'initiative de la mission économique UBIFRANCE de l'ambassade de France à Alger, en collaboration avec le ministère de l'Aménagement du territoire, de l'Environnement et du Tourisme, cette rencontre a regroupé une soixantaine d'entreprises algériennes et une dizaine autres françaises. Cette rencontre a permis aux entreprises algériennes présentes d'avoir un aperçu de l'expérience française en la matière. L'occasion a également été donnée à ces dernières de s'imprégner des nouvelles technologies utilisées dans le domaine de la gestion des déchets ménagers et spéciaux. Pour les entreprises françaises, l'initiative leur permettra d'appréhender le contexte local, ses opportunités et d'identifier des partenaires potentiels. L'Algérie a déployé tous les moyens en vue d'assurer une meilleure gestion de ces déchets, a affirmé M. Gourine Lazhar, directeur général de l'Agence nationale des déchets. Il dira également à cet effet que son agence s'insert dans un processus stratégique efficace en vue d'éradiquer les causes de la prolifération des déchets. Pour ce faire, il annonce que deux programmes ont été mis en place pour les déchets ménagers et les déchets spéciaux. «Nous sommes au même niveau d'excellence en matière de gestion des déchets que nos voisins maghrébins», a-t-il déclaré. Aujourd'hui, l'Agence plaide pour une politique de tri sélectif qui permettra, selon M. Gourine, de déboucher sur la récupération et le traitement de toutes sortes de déchets dans le respect de l'environnement. Le citoyen a un rôle majeur à jouer pour lutter contre la prolifération des déchets, notamment pour préserver son environnement et cadre de vie social. « Le citoyen est l'acteur premier de la machine et doit s'impliquer dans ce processus car cela est un éco-geste indispensable », a-t-on expliqué. Une autre rencontre se tiendra, aujourd'hui, à Oran, lors d'une rencontre d'une demi-journée avec d'autres intervenants algériens du secteur de l'environnement et qui verra la participation de plusieurs décideurs publics et privés. Massinissa Benlakehal Des acteurs algériens du secteur de l'environnement ont rencontré, hier à Alger, des entreprises françaises intervenant dans le domaine de la gestion des déchets urbains et spéciaux. Organisée à l'initiative de la mission économique UBIFRANCE de l'ambassade de France à Alger, en collaboration avec le ministère de l'Aménagement du territoire, de l'Environnement et du Tourisme, cette rencontre a regroupé une soixantaine d'entreprises algériennes et une dizaine autres françaises. Cette rencontre a permis aux entreprises algériennes présentes d'avoir un aperçu de l'expérience française en la matière. L'occasion a également été donnée à ces dernières de s'imprégner des nouvelles technologies utilisées dans le domaine de la gestion des déchets ménagers et spéciaux. Pour les entreprises françaises, l'initiative leur permettra d'appréhender le contexte local, ses opportunités et d'identifier des partenaires potentiels. L'Algérie a déployé tous les moyens en vue d'assurer une meilleure gestion de ces déchets, a affirmé M. Gourine Lazhar, directeur général de l'Agence nationale des déchets. Il dira également à cet effet que son agence s'insert dans un processus stratégique efficace en vue d'éradiquer les causes de la prolifération des déchets. Pour ce faire, il annonce que deux programmes ont été mis en place pour les déchets ménagers et les déchets spéciaux. «Nous sommes au même niveau d'excellence en matière de gestion des déchets que nos voisins maghrébins», a-t-il déclaré. Aujourd'hui, l'Agence plaide pour une politique de tri sélectif qui permettra, selon M. Gourine, de déboucher sur la récupération et le traitement de toutes sortes de déchets dans le respect de l'environnement. Le citoyen a un rôle majeur à jouer pour lutter contre la prolifération des déchets, notamment pour préserver son environnement et cadre de vie social. « Le citoyen est l'acteur premier de la machine et doit s'impliquer dans ce processus car cela est un éco-geste indispensable », a-t-on expliqué. Une autre rencontre se tiendra, aujourd'hui, à Oran, lors d'une rencontre d'une demi-journée avec d'autres intervenants algériens du secteur de l'environnement et qui verra la participation de plusieurs décideurs publics et privés. Massinissa Benlakehal