Une somme de 180 milliards de centimes a été débloquée pour le développement du secteur de la jeunesse et des sports. Au total, 51 projets sont prévus et seront implantés à travers plusieurs localités de la wilaya, notamment les plus enclavées. Une somme de 180 milliards de centimes a été débloquée pour le développement du secteur de la jeunesse et des sports. Au total, 51 projets sont prévus et seront implantés à travers plusieurs localités de la wilaya, notamment les plus enclavées. Le secteur de la jeunesse et des sports dans la wilaya de Boumerdès sera renforcé prochainement par de nouvelles structures sportives afin de permettre l'émancipation de la pratique sportive dans toute la wilaya. En effet, une somme de 180 milliards de centimes a été débloquée pour le développement dudit secteur. Au total, 51 projets sont prévus et seront implantés à travers plusieurs localités de la wilaya, notamment les plus enclavées. A titre d'exemple, la commune de Baghlia verra le revêtement de son stade en gazon synthétique. Le stade de la ville des Issers, le plus ancien de la localité, réalisé en 1923 par les Français, sera, lui aussi, revêtu en gazon synthétique. Une piscine sera ouverte prochainement au niveau de cette ville. A cela s'ajoutent l'aménagement et la réalisation d'une dizaine de stades et d'aires de jeux. A noter que la wilaya compte une cinquantaine d'aires de jeux éparpillées à travers toutes les localités. Mais ce nombre reste insuffisant par rapport à l'étendue de la superficie de la wilaya et vu le nombre de villages qu'elle compte, soit 700 villages. Dans ce cadre, la commune de Chabet El-Ameur a bénéficié de trois terrains de football. Faut-il le rappeler, cette localité accuse un grand retard en matière d'infrastructures sportives. Le stade communal qui y existe est dans un état lamentable et ne donne aucune envie à disputer une rencontre footballistique. Outre cela, les stades de Dellys, Keddara, Ouled Moussa, Kherrouba, Tidjlabine et Boumerdès seront, prochainement, aménagés. La commune de Bordj Ménaïel verra la réalisation d'un stade de 10 mille places. Pour cela, toutes les démarches administratives et techniques ont été accomplies dans les délais. En plus, une salle de boxe est projetée dans le plan quinquennal 2010-2014. Les communes de Naciria et de Corso bénéficieront chacune d'une salle omnisports de 500 places. Par ailleurs, deux auberges de jeunes d'une capacité de 50 places seront réalisées encore dans les communes de Zemmouri El-Bahri et Cap Djenet. Dellys et Corso verront chacune la réalisation de deux camps de 400 places. Le chef-lieu de wilaya sera doté prochainement d'un centre de loisirs scientifiques équipé de tous les moyens. Fermé depuis la clôture des festivités du Panaf 2009, le stade Djilali-Bounaâma, de 15 mille places, sera, selon toute vraisemblance, rouvert prochainement. Une bagatelle de 400 millions de centimes a été dégagée pour lancer des travaux afin de permettre sa réouverture au public et aux sportifs de la région. Sur un autre registre, plusieurs localités ne disposent toujours pas de structures de sports pour jeunes. L'exemple qui illustre cette réalité amère est la commune de Afir qui n'est toujours pas dotée d'une maison de jeunes. Dans la commune de Béni Amrane, l'on compte deux maisons de jeunes qui ne sont pas fonctionnelles. Aux Issers, la maison de jeunes Ali-Ben Fetoum, est fermée depuis 2003, et l'APC a projeté récemment sa démolition et la construction d'une nouvelle maison de jeunes. T. O. Le secteur de la jeunesse et des sports dans la wilaya de Boumerdès sera renforcé prochainement par de nouvelles structures sportives afin de permettre l'émancipation de la pratique sportive dans toute la wilaya. En effet, une somme de 180 milliards de centimes a été débloquée pour le développement dudit secteur. Au total, 51 projets sont prévus et seront implantés à travers plusieurs localités de la wilaya, notamment les plus enclavées. A titre d'exemple, la commune de Baghlia verra le revêtement de son stade en gazon synthétique. Le stade de la ville des Issers, le plus ancien de la localité, réalisé en 1923 par les Français, sera, lui aussi, revêtu en gazon synthétique. Une piscine sera ouverte prochainement au niveau de cette ville. A cela s'ajoutent l'aménagement et la réalisation d'une dizaine de stades et d'aires de jeux. A noter que la wilaya compte une cinquantaine d'aires de jeux éparpillées à travers toutes les localités. Mais ce nombre reste insuffisant par rapport à l'étendue de la superficie de la wilaya et vu le nombre de villages qu'elle compte, soit 700 villages. Dans ce cadre, la commune de Chabet El-Ameur a bénéficié de trois terrains de football. Faut-il le rappeler, cette localité accuse un grand retard en matière d'infrastructures sportives. Le stade communal qui y existe est dans un état lamentable et ne donne aucune envie à disputer une rencontre footballistique. Outre cela, les stades de Dellys, Keddara, Ouled Moussa, Kherrouba, Tidjlabine et Boumerdès seront, prochainement, aménagés. La commune de Bordj Ménaïel verra la réalisation d'un stade de 10 mille places. Pour cela, toutes les démarches administratives et techniques ont été accomplies dans les délais. En plus, une salle de boxe est projetée dans le plan quinquennal 2010-2014. Les communes de Naciria et de Corso bénéficieront chacune d'une salle omnisports de 500 places. Par ailleurs, deux auberges de jeunes d'une capacité de 50 places seront réalisées encore dans les communes de Zemmouri El-Bahri et Cap Djenet. Dellys et Corso verront chacune la réalisation de deux camps de 400 places. Le chef-lieu de wilaya sera doté prochainement d'un centre de loisirs scientifiques équipé de tous les moyens. Fermé depuis la clôture des festivités du Panaf 2009, le stade Djilali-Bounaâma, de 15 mille places, sera, selon toute vraisemblance, rouvert prochainement. Une bagatelle de 400 millions de centimes a été dégagée pour lancer des travaux afin de permettre sa réouverture au public et aux sportifs de la région. Sur un autre registre, plusieurs localités ne disposent toujours pas de structures de sports pour jeunes. L'exemple qui illustre cette réalité amère est la commune de Afir qui n'est toujours pas dotée d'une maison de jeunes. Dans la commune de Béni Amrane, l'on compte deux maisons de jeunes qui ne sont pas fonctionnelles. Aux Issers, la maison de jeunes Ali-Ben Fetoum, est fermée depuis 2003, et l'APC a projeté récemment sa démolition et la construction d'une nouvelle maison de jeunes. T. O.