Pas moins de 50% des capacités de stockage concernent l'orge dont l'Algérie pourrait devenir un potentiel pays exportateur. Ces quantités jugées appréciables vont permettre de réguler les programmes d'approvisionnement en blé dur et en blé tendre. Pas moins de 50% des capacités de stockage concernent l'orge dont l'Algérie pourrait devenir un potentiel pays exportateur. Ces quantités jugées appréciables vont permettre de réguler les programmes d'approvisionnement en blé dur et en blé tendre. «Je suis satisfait de l'effort réalisé par chacun des intervenants dans la filière céréaliculture, mais concernant les légumes secs faut-il réduire les terres en jachère alors que l'amélioration de la qualité du blé est devenue une nécessité absolue», a notamment déclaré, hier, le ministre de l'Agriculture et du Développement rural, Rachid Benaïssa, lors d'une rencontre avec les directeurs des Coopératives des céréales et légumes secs (CCLS). Ce satisfecit du ministre démontre bien la préparation de la campagne moissons-battages 2009-2010 qui se déroule sous de bons auspices sachant que les capacités de mobilisation des capacités de stockage, au 31 mars 2010, sont de l'ordre de 35 millions de quintaux. Pas moins de 50% de ces capacités de stockage concernent l'orge dont l'Algérie pourrait devenir un potentiel pays exportateur. Ces quantités jugées appréciables vont permettre de réguler les programmes d'approvisionnement en blé dur et en blé tendre. Le ministre reste néanmoins prudent et circonspect en précisant que les responsables des CCLS doivent faire preuve de doigté pour être prêts à enclencher la campagne moissons-battages dans les meilleures conditions possibles, en améliorant l'itinéraire technique et en prenant les dispositions nécessaires avant le début des opérations tout en arrêtant les zones et les programmes de récolte. "Le financement est en place, l'argent est disponible et les moyens matériels sont présents. Il faut donc prendre en considération les paramètres de stockage et de transport". Pour sa part, le directeur général de l'Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC), Noureddine Kahal, a fait savoir que 500 moissonneuses-batteuses seront disponibles à la fin juin pour les mettre à la disposition des coopératives, soit l'équivalent de 424 tracteurs. Par ailleurs, 200 tracteurs seront mobilisés et feront l'objet d'une distribution au niveau des wilayas. A propos de financement, un dossier a été mis en forme pour récolter un prêt d'un montant de 48 milliards DA au niveau de la Banque algérienne pour le développement rural (BADR) pour réussir la campagne moissons-battages 2009-2010. Aussi, 8 milliards de dinars seront débloqués également pour le financement des premières récoltes en mai et juin. Les principaux indicateurs de la campagne céréalière montrent que la superficie cultivée représente plus de trois millions trois cent dix-sept mille hectares, en augmentation, par rapport à la campagne précédente, de plus de 74.600 ha (+2 %), dont 1.342.507 hectares pour le blé dur, 614.024 héctares pour le blé tendre, 1.276.391 hectares pour l'orge et 84.264 pour l'avoine. A. A. «Je suis satisfait de l'effort réalisé par chacun des intervenants dans la filière céréaliculture, mais concernant les légumes secs faut-il réduire les terres en jachère alors que l'amélioration de la qualité du blé est devenue une nécessité absolue», a notamment déclaré, hier, le ministre de l'Agriculture et du Développement rural, Rachid Benaïssa, lors d'une rencontre avec les directeurs des Coopératives des céréales et légumes secs (CCLS). Ce satisfecit du ministre démontre bien la préparation de la campagne moissons-battages 2009-2010 qui se déroule sous de bons auspices sachant que les capacités de mobilisation des capacités de stockage, au 31 mars 2010, sont de l'ordre de 35 millions de quintaux. Pas moins de 50% de ces capacités de stockage concernent l'orge dont l'Algérie pourrait devenir un potentiel pays exportateur. Ces quantités jugées appréciables vont permettre de réguler les programmes d'approvisionnement en blé dur et en blé tendre. Le ministre reste néanmoins prudent et circonspect en précisant que les responsables des CCLS doivent faire preuve de doigté pour être prêts à enclencher la campagne moissons-battages dans les meilleures conditions possibles, en améliorant l'itinéraire technique et en prenant les dispositions nécessaires avant le début des opérations tout en arrêtant les zones et les programmes de récolte. "Le financement est en place, l'argent est disponible et les moyens matériels sont présents. Il faut donc prendre en considération les paramètres de stockage et de transport". Pour sa part, le directeur général de l'Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC), Noureddine Kahal, a fait savoir que 500 moissonneuses-batteuses seront disponibles à la fin juin pour les mettre à la disposition des coopératives, soit l'équivalent de 424 tracteurs. Par ailleurs, 200 tracteurs seront mobilisés et feront l'objet d'une distribution au niveau des wilayas. A propos de financement, un dossier a été mis en forme pour récolter un prêt d'un montant de 48 milliards DA au niveau de la Banque algérienne pour le développement rural (BADR) pour réussir la campagne moissons-battages 2009-2010. Aussi, 8 milliards de dinars seront débloqués également pour le financement des premières récoltes en mai et juin. Les principaux indicateurs de la campagne céréalière montrent que la superficie cultivée représente plus de trois millions trois cent dix-sept mille hectares, en augmentation, par rapport à la campagne précédente, de plus de 74.600 ha (+2 %), dont 1.342.507 hectares pour le blé dur, 614.024 héctares pour le blé tendre, 1.276.391 hectares pour l'orge et 84.264 pour l'avoine. A. A.
