Pour le responsable du PT, cette situation s'est aggravée avec l'entrée en lice de sociétés privées de placement pour les demandeurs d'emploi au Sud qui privilégient l'emploi temporaire à durée déterminée. Pour le responsable du PT, cette situation s'est aggravée avec l'entrée en lice de sociétés privées de placement pour les demandeurs d'emploi au Sud qui privilégient l'emploi temporaire à durée déterminée. Les compagnies pétrolières étrangères opérant au Sud du pays croient évoluer dans «un Etat de non-droit». Cette réflexion émane de nombreux travailleurs qui émargent dans les différentes sociétés pétrolières étrangères implantées dans le Sud du pays et même de certains partis politiques notamment le Parti des travailleurs (PT) de Louisa Hanoune, proche des «masses laborieuses» et toujours à l'avant-garde pour la défense des «acquis des travailleurs». Code de travail bafoué, conditions de travail pénibles et autres atteintes à la dignité des ouvriers, particulièrement le licenciement abusif au bout de mois ou d' années de travail, ces traits sont caractéristiques à la plupart des entreprises étrangères pétrolières chargées de l'exploration, de l'exploitation ou de la fourniture de biens et services. «On se serait cru revenu au temps de l'esclavage», s'indigne Djelloul Djoudi, membre du bureau national et chargé de la communication au sein du PT qui exprime la «solidarité» du parti pour ces travailleurs qui luttent pour préserver «les acquis». Il est un fait, déplore Djelloul Djoudi, que «ces multinationales ne respectent pas le code du travail, particulièrement dans son volet social», et d'ailleurs, il ne s'étonne même pas de ces «pratiques» propres aux multinationales. Mais il s'étonne de l'absence de réactions du ministère du Travail, lequel a été interpellé par le PT sur les dépassements commis à l'encontre des salariés nationaux par ces multinationales pétrolières en service dans l'Algérie profonde. Pour le responsable du PT, cette situation s'est aggravée avec l'entrée en lice de sociétés privées de placement pour les demandeurs d'emploi au Sud qui privilégient l'emploi temporaire à durée déterminée. Une loi qui, a-t-il rappelé, a été combattue par les députés du parti lors des débats des plénières à l'APN et ont voté contre son adoption par la chambre basse du Parlement. Les actions du parti ne se sont pas arrêtées à ce niveau, assure Djelloul Djoudi pour qui «la réflexion» du parti englobe toute une stratégie pour combattre l'emploi précaire qui est devenu presque «la norme» pour toute sociétés étrangères et même nationales des deux secteurs, public et privé. Il trouve «anormal» que l'Etat emploie des vacataires à 3.000 DA/mois et des universitaires à 12.000 DA/mois et souligne que sur ce volet, «l'Organisation des jeunes révolutionnaires (OJR) du parti s'attèlent à réunir un nombre conséquent de signatures de jeunes pour interpeller le président de la République sur cette question». Il soutient que le respect du code du travail et un poste d'emploi permanent assurent «la dignité» aux travailleurs quel que soit le statut juridique de l'employeur. C'est ce à quoi «aspire» le PT, selon lui, observant que le respect des lois de la République permet aux travailleurs de «bénéficier de tous les avantages et surtout la couverture sociale», à laquelle ils ont droit. S. B. Les compagnies pétrolières étrangères opérant au Sud du pays croient évoluer dans «un Etat de non-droit». Cette réflexion émane de nombreux travailleurs qui émargent dans les différentes sociétés pétrolières étrangères implantées dans le Sud du pays et même de certains partis politiques notamment le Parti des travailleurs (PT) de Louisa Hanoune, proche des «masses laborieuses» et toujours à l'avant-garde pour la défense des «acquis des travailleurs». Code de travail bafoué, conditions de travail pénibles et autres atteintes à la dignité des ouvriers, particulièrement le licenciement abusif au bout de mois ou d' années de travail, ces traits sont caractéristiques à la plupart des entreprises étrangères pétrolières chargées de l'exploration, de l'exploitation ou de la fourniture de biens et services. «On se serait cru revenu au temps de l'esclavage», s'indigne Djelloul Djoudi, membre du bureau national et chargé de la communication au sein du PT qui exprime la «solidarité» du parti pour ces travailleurs qui luttent pour préserver «les acquis». Il est un fait, déplore Djelloul Djoudi, que «ces multinationales ne respectent pas le code du travail, particulièrement dans son volet social», et d'ailleurs, il ne s'étonne même pas de ces «pratiques» propres aux multinationales. Mais il s'étonne de l'absence de réactions du ministère du Travail, lequel a été interpellé par le PT sur les dépassements commis à l'encontre des salariés nationaux par ces multinationales pétrolières en service dans l'Algérie profonde. Pour le responsable du PT, cette situation s'est aggravée avec l'entrée en lice de sociétés privées de placement pour les demandeurs d'emploi au Sud qui privilégient l'emploi temporaire à durée déterminée. Une loi qui, a-t-il rappelé, a été combattue par les députés du parti lors des débats des plénières à l'APN et ont voté contre son adoption par la chambre basse du Parlement. Les actions du parti ne se sont pas arrêtées à ce niveau, assure Djelloul Djoudi pour qui «la réflexion» du parti englobe toute une stratégie pour combattre l'emploi précaire qui est devenu presque «la norme» pour toute sociétés étrangères et même nationales des deux secteurs, public et privé. Il trouve «anormal» que l'Etat emploie des vacataires à 3.000 DA/mois et des universitaires à 12.000 DA/mois et souligne que sur ce volet, «l'Organisation des jeunes révolutionnaires (OJR) du parti s'attèlent à réunir un nombre conséquent de signatures de jeunes pour interpeller le président de la République sur cette question». Il soutient que le respect du code du travail et un poste d'emploi permanent assurent «la dignité» aux travailleurs quel que soit le statut juridique de l'employeur. C'est ce à quoi «aspire» le PT, selon lui, observant que le respect des lois de la République permet aux travailleurs de «bénéficier de tous les avantages et surtout la couverture sociale», à laquelle ils ont droit. S. B.