En marge de la Journée internationale sur la transplantation d'organes qui a eu lieu ce dimanche à l'Hôtel militaire de la 1er RM de Blida, en présence de professeurs de renom, nous nous sommes rapprochés du professeur Si Ahmed El-Mahdi, chef du service universitaire de chirurgie et de transplantation rénale au CHU de Blida, pour nous parler de l'Institut du rein du CHU de Blida : "L'Institut du rein est dans sa phase finale de réalisation. Sa livraison est prévue à la fin de l'année 2010. Il y a un engagement ferme des autorités locales pour qu'il soit livré à cette date. Le ministère de la Santé a eu l'initiative heureuse de désigner un professeur chef de projet, qui va suivre les aspects structurels, des aspects purement scientifique, qui vont accompagner cette infrastructure, et il est bien évident que le problème de l'équipement va être abordé incessemment pour qu'il n'y ait pas un déphasage entre la livraison de l'infrastructure sur le plan du bâtiment et la livraison des équipements techniques qui sont indispensables au bon fonctionnement de cette infrastructure. L'Institut du rein est une belle réalisation dont l'Algérie peut en être fière. Cet institut peut devenir un pôle d'excellence en matière de prise en charge de toutes les pathologies rénales et la greffe d'organes, puisque la véritable dénomination de l'institut, c'est un institut du rein et de greffe d'organes. A côté de l'institut, il existe un bâtiment pour lequel le ministère de la Santé projette de faire le siège de l'agence nationale des greffes d'organes. Au niveau de mon service, nous avons fait 55 greffes rénales, et à présents, nous nous intéressons aux donneurs vivants, ce sont des greffes qui se font dans un cadre familial. Puisque la loi impose que le donneur vivant ait un lien familial de sang avec le malade. Nous avons fait une étude au niveau du CHU de Blida, on s'est perçu que sur l'ensemble des dialysés de notre wilaya, seuls 10% pouvaient avoir accès à cette possibilité de donneurs vivants. Je lance un appel pour que la greffe à partir de donneur cadavérique puisse se développer, il y va de l'organisation de notre établissement et il y va aussi de la sensibilité de la population si on veut faire la greffe à partir de donneurs cadavériques." S. B. En marge de la Journée internationale sur la transplantation d'organes qui a eu lieu ce dimanche à l'Hôtel militaire de la 1er RM de Blida, en présence de professeurs de renom, nous nous sommes rapprochés du professeur Si Ahmed El-Mahdi, chef du service universitaire de chirurgie et de transplantation rénale au CHU de Blida, pour nous parler de l'Institut du rein du CHU de Blida : "L'Institut du rein est dans sa phase finale de réalisation. Sa livraison est prévue à la fin de l'année 2010. Il y a un engagement ferme des autorités locales pour qu'il soit livré à cette date. Le ministère de la Santé a eu l'initiative heureuse de désigner un professeur chef de projet, qui va suivre les aspects structurels, des aspects purement scientifique, qui vont accompagner cette infrastructure, et il est bien évident que le problème de l'équipement va être abordé incessemment pour qu'il n'y ait pas un déphasage entre la livraison de l'infrastructure sur le plan du bâtiment et la livraison des équipements techniques qui sont indispensables au bon fonctionnement de cette infrastructure. L'Institut du rein est une belle réalisation dont l'Algérie peut en être fière. Cet institut peut devenir un pôle d'excellence en matière de prise en charge de toutes les pathologies rénales et la greffe d'organes, puisque la véritable dénomination de l'institut, c'est un institut du rein et de greffe d'organes. A côté de l'institut, il existe un bâtiment pour lequel le ministère de la Santé projette de faire le siège de l'agence nationale des greffes d'organes. Au niveau de mon service, nous avons fait 55 greffes rénales, et à présents, nous nous intéressons aux donneurs vivants, ce sont des greffes qui se font dans un cadre familial. Puisque la loi impose que le donneur vivant ait un lien familial de sang avec le malade. Nous avons fait une étude au niveau du CHU de Blida, on s'est perçu que sur l'ensemble des dialysés de notre wilaya, seuls 10% pouvaient avoir accès à cette possibilité de donneurs vivants. Je lance un appel pour que la greffe à partir de donneur cadavérique puisse se développer, il y va de l'organisation de notre établissement et il y va aussi de la sensibilité de la population si on veut faire la greffe à partir de donneurs cadavériques." S. B.