Dix-huit personnes ont été tuées dont 10 membres des forces de sécurité et huit civils et 120 autres blessées dont 48 policiers et 72 civils, dans les violences dans le sud du Yémen durant les trois premiers mois de 2010 selon un rapport officiel présenté samedi au Parlement. par le vice-ministre de l'Intérieur Saleh Zwari. Les accrochages les plus violents ont eu lieu dans la province de Daleh et dans les districts de Lahej et Abyan. "87 attaques à la bombe et accrochages armés" se sont produits dans les mêmes secteurs durant la meme période. Le Sud-Yémen, qui était un Etat indépendant jusqu'en 1990, est le théâtre d'actes de violences sur fond de mécontentement populaire, les habitants s'estimant l'objet de discriminations et disant ne pas bénéficier d'une aide économique suffisante du pouvoir central. Le "Conseil de la révolution pacifique dans le sud du Yémen" est une coalition de mouvements sudistes dont certains appellent à la sécession et d'autres à une fédération nord-sud. Dix-huit personnes ont été tuées dont 10 membres des forces de sécurité et huit civils et 120 autres blessées dont 48 policiers et 72 civils, dans les violences dans le sud du Yémen durant les trois premiers mois de 2010 selon un rapport officiel présenté samedi au Parlement. par le vice-ministre de l'Intérieur Saleh Zwari. Les accrochages les plus violents ont eu lieu dans la province de Daleh et dans les districts de Lahej et Abyan. "87 attaques à la bombe et accrochages armés" se sont produits dans les mêmes secteurs durant la meme période. Le Sud-Yémen, qui était un Etat indépendant jusqu'en 1990, est le théâtre d'actes de violences sur fond de mécontentement populaire, les habitants s'estimant l'objet de discriminations et disant ne pas bénéficier d'une aide économique suffisante du pouvoir central. Le "Conseil de la révolution pacifique dans le sud du Yémen" est une coalition de mouvements sudistes dont certains appellent à la sécession et d'autres à une fédération nord-sud.